Talent / maltalent. La culture des émotions au seuil de la littérature française
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- Nombre de pages332
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.58 kg
- Dimensions15,6 cm × 23,4 cm × 2,2 cm
- ISBN978-2-503-57826-2
- EAN9782503578262
- Date de parution01/09/2018
- CollectionCulture et société médiévales
- ÉditeurBrepols
- PréfacierClaudio Galderisi
Résumé
S'inscrivant dans l'histoire des affects, le livre propose une relecture des premiers récits français sous le signe des polarités émotionnelles médiévales du " talent " et du " maltalent ". A l'époque de leur première réception, la Cantilène de sainte Eulalie, la Vie de saint Alexis, la Chanson de Roland et le Roman de Thèbes étaient des oeuvres fermées, des textes de plaisir. Pour le lecteur du XXIe siècle, ils deviennent un beau défi jouissif.
Ainsi, les détails qui débordent le cadre théologique se révèlent nombreux et savoureux : Maximien réussit son coup d'épée contre Eulalie, la " pucelle " d'Alexis parvient à consommer son mariage céleste, Charlemagne boude Gabriel, Jocaste frôle le rôle d'entremetteuse pour faire la paix par l'amour... et les mondes s'entrechoquent, ambigument possibles. L'étude aborde les styles émotionnels, les actes émotifs, les normes affectives et les communautés responsables des " émotionologies " de ces textes liminaires de la littérature française, où les personnages font de Dieu un acte émotif de plus en plus dépouillé.
Du nom à l'interjection, de la foi à l'émotion, c'est l'histoire d'une véritable émancipation qui s'écrit, en initiant, à fleur de texte, une désacralisation progressive des affects.
Ainsi, les détails qui débordent le cadre théologique se révèlent nombreux et savoureux : Maximien réussit son coup d'épée contre Eulalie, la " pucelle " d'Alexis parvient à consommer son mariage céleste, Charlemagne boude Gabriel, Jocaste frôle le rôle d'entremetteuse pour faire la paix par l'amour... et les mondes s'entrechoquent, ambigument possibles. L'étude aborde les styles émotionnels, les actes émotifs, les normes affectives et les communautés responsables des " émotionologies " de ces textes liminaires de la littérature française, où les personnages font de Dieu un acte émotif de plus en plus dépouillé.
Du nom à l'interjection, de la foi à l'émotion, c'est l'histoire d'une véritable émancipation qui s'écrit, en initiant, à fleur de texte, une désacralisation progressive des affects.
S'inscrivant dans l'histoire des affects, le livre propose une relecture des premiers récits français sous le signe des polarités émotionnelles médiévales du " talent " et du " maltalent ". A l'époque de leur première réception, la Cantilène de sainte Eulalie, la Vie de saint Alexis, la Chanson de Roland et le Roman de Thèbes étaient des oeuvres fermées, des textes de plaisir. Pour le lecteur du XXIe siècle, ils deviennent un beau défi jouissif.
Ainsi, les détails qui débordent le cadre théologique se révèlent nombreux et savoureux : Maximien réussit son coup d'épée contre Eulalie, la " pucelle " d'Alexis parvient à consommer son mariage céleste, Charlemagne boude Gabriel, Jocaste frôle le rôle d'entremetteuse pour faire la paix par l'amour... et les mondes s'entrechoquent, ambigument possibles. L'étude aborde les styles émotionnels, les actes émotifs, les normes affectives et les communautés responsables des " émotionologies " de ces textes liminaires de la littérature française, où les personnages font de Dieu un acte émotif de plus en plus dépouillé.
Du nom à l'interjection, de la foi à l'émotion, c'est l'histoire d'une véritable émancipation qui s'écrit, en initiant, à fleur de texte, une désacralisation progressive des affects.
Ainsi, les détails qui débordent le cadre théologique se révèlent nombreux et savoureux : Maximien réussit son coup d'épée contre Eulalie, la " pucelle " d'Alexis parvient à consommer son mariage céleste, Charlemagne boude Gabriel, Jocaste frôle le rôle d'entremetteuse pour faire la paix par l'amour... et les mondes s'entrechoquent, ambigument possibles. L'étude aborde les styles émotionnels, les actes émotifs, les normes affectives et les communautés responsables des " émotionologies " de ces textes liminaires de la littérature française, où les personnages font de Dieu un acte émotif de plus en plus dépouillé.
Du nom à l'interjection, de la foi à l'émotion, c'est l'histoire d'une véritable émancipation qui s'écrit, en initiant, à fleur de texte, une désacralisation progressive des affects.