Sur la mort. Livre IV
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- Nombre de pages192
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.455 kg
- Dimensions12,5 cm × 19,2 cm × 2,6 cm
- ISBN978-2-251-00648-2
- EAN9782251006482
- Date de parution27/05/2022
- CollectionUniversités de France. Grecque
- ÉditeurBelles Lettres
- TraducteurDaniel Delattre
Résumé
La fin (seule conservée) du livre IV et dernier contenu dans le papyrus d'Herculanum (PHerc.) 1050 et intitulé Sur la mort est un texte épicurien d'une grande importance, composé par Philodème sans doute vers la fin de sa vie, à l'époque où Cicéron, son "familier" , rédigeait les Tusculanes. Les références aux écrits d'Epicure et de Métrodore et à leur mode de vie et de pensée en constituent la trame sur laquelle se tisse la récapitulation attentive de tous les motifs et arguments, sources de souci voire de douleur ("piqûres ou morsures bien naturelles"), que le philosophe tient à éliminer peu à peu pour nous aider à nous débarrasser de la peur de mourir.
Ni "consolation" ni "divertissement" , ni démonstration abstraite, la conclusion du Sur la mort est une ode très personnelle et poétique à la vie agréable et sereine, qui s'offre généreusement à qui s'est rendu capable d'en percevoir l'utilité et la richesse. Dans la "cité sans remparts que nous habitons tous" , l'unique secours contre la "folie des insensés" , selon Philodème, demeure la philosophie pratiquée entre amis du Jardin.
Ni "consolation" ni "divertissement" , ni démonstration abstraite, la conclusion du Sur la mort est une ode très personnelle et poétique à la vie agréable et sereine, qui s'offre généreusement à qui s'est rendu capable d'en percevoir l'utilité et la richesse. Dans la "cité sans remparts que nous habitons tous" , l'unique secours contre la "folie des insensés" , selon Philodème, demeure la philosophie pratiquée entre amis du Jardin.
La fin (seule conservée) du livre IV et dernier contenu dans le papyrus d'Herculanum (PHerc.) 1050 et intitulé Sur la mort est un texte épicurien d'une grande importance, composé par Philodème sans doute vers la fin de sa vie, à l'époque où Cicéron, son "familier" , rédigeait les Tusculanes. Les références aux écrits d'Epicure et de Métrodore et à leur mode de vie et de pensée en constituent la trame sur laquelle se tisse la récapitulation attentive de tous les motifs et arguments, sources de souci voire de douleur ("piqûres ou morsures bien naturelles"), que le philosophe tient à éliminer peu à peu pour nous aider à nous débarrasser de la peur de mourir.
Ni "consolation" ni "divertissement" , ni démonstration abstraite, la conclusion du Sur la mort est une ode très personnelle et poétique à la vie agréable et sereine, qui s'offre généreusement à qui s'est rendu capable d'en percevoir l'utilité et la richesse. Dans la "cité sans remparts que nous habitons tous" , l'unique secours contre la "folie des insensés" , selon Philodème, demeure la philosophie pratiquée entre amis du Jardin.
Ni "consolation" ni "divertissement" , ni démonstration abstraite, la conclusion du Sur la mort est une ode très personnelle et poétique à la vie agréable et sereine, qui s'offre généreusement à qui s'est rendu capable d'en percevoir l'utilité et la richesse. Dans la "cité sans remparts que nous habitons tous" , l'unique secours contre la "folie des insensés" , selon Philodème, demeure la philosophie pratiquée entre amis du Jardin.