Madhu Suri Prakash est professeuse de philosophie de l'éducation à l'université d'État de Pennsylvanie (États-Unis)
S'évader de l'éducation. La vie comme apprentissage au sein des cultures autochtones
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- Nombre de pages200
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.2 kg
- Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-490403-57-8
- EAN9782490403578
- Date de parution15/06/2023
- ÉditeurEditions Libre
Résumé
Dans S'évader de l'éducation, Madhu Suri Prakash et Gustavo Esteva interrogent la conviction moderne selon laquelle l'éducation est un bien universel et un droit humain et remettent en question la rhétorique altruiste des programmes internationaux de développement à destination des pays "sous-développés" . D'après eux, l'idéologie éducationniste est le cheval de Troie de la globalisation et du néocolonialisme capitalistes qui a forcé les portes des cultures et sociétés traditionnelles.
Les programmes d'éducation, "armes de destruction massive" du capitalisme, constituent dès lors une véritable agression envers les cultures autochtones dont l'autonomie, la souveraineté et l'intégrité sont remises en cause. L'idéologie éducationniste apparaît ainsi comme un pilier essentiel d'un nouvel impérialisme.
Les programmes d'éducation, "armes de destruction massive" du capitalisme, constituent dès lors une véritable agression envers les cultures autochtones dont l'autonomie, la souveraineté et l'intégrité sont remises en cause. L'idéologie éducationniste apparaît ainsi comme un pilier essentiel d'un nouvel impérialisme.
Dans S'évader de l'éducation, Madhu Suri Prakash et Gustavo Esteva interrogent la conviction moderne selon laquelle l'éducation est un bien universel et un droit humain et remettent en question la rhétorique altruiste des programmes internationaux de développement à destination des pays "sous-développés" . D'après eux, l'idéologie éducationniste est le cheval de Troie de la globalisation et du néocolonialisme capitalistes qui a forcé les portes des cultures et sociétés traditionnelles.
Les programmes d'éducation, "armes de destruction massive" du capitalisme, constituent dès lors une véritable agression envers les cultures autochtones dont l'autonomie, la souveraineté et l'intégrité sont remises en cause. L'idéologie éducationniste apparaît ainsi comme un pilier essentiel d'un nouvel impérialisme.
Les programmes d'éducation, "armes de destruction massive" du capitalisme, constituent dès lors une véritable agression envers les cultures autochtones dont l'autonomie, la souveraineté et l'intégrité sont remises en cause. L'idéologie éducationniste apparaît ainsi comme un pilier essentiel d'un nouvel impérialisme.