Romans, nouvelles

Par : Jun'ichiro Tanizaki

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  • Nombre de pages1016
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.74 kg
  • Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 3,0 cm
  • ISBN978-2-07-012966-9
  • EAN9782070129669
  • Date de parution17/11/2011
  • CollectionQuarto
  • ÉditeurGallimard

Résumé

Pour la plupart, ces oeuvres ont pour arrière-plan une société urbaine, occidentalisante et pervertie. Tanizaki a même créé un genre, « le naomisme », du nom de l’héroïne émancipée, Naomi, qui a servi d’emblème à son époque. Toutes développent les thèmes de la sensualité, de la fascination pour le corps de la femme et l’art pervers de la séduction. L’homme ou la femme aux prises avec leurs passions ne connaissent plus de limite : le meurtre sans scrupule et sans remords s’inscrit dans leur logique intime et s’impose tout naturellement comme la meilleure issue au terme de jeux spéculatifs déchirants.
Les passions mènent leur propre jeu, indifférentes à toute morale, à tout bon sens. On en voit l’aspect cocasse dans Le Chat, son maître et ses deux maîtresses où Tanizaki choisit une chatte comme objet d’adoration. Dans Shunkin, Tanizaki développe avec cruauté la passion contrariée d’une jeune fille d’une grande beauté devenue aveugle à 8 ans (Shunkin) et de son serviteur Sasuke, qui l’accompagne tous les jours chez son maître de musique où il retient fort bien l’enseignement destiné à sa seule maîtresse.
Shunkin exerce tous les raffinements de la cruauté et de l’humiliation à son encontre jusqu’au moment où découvrant son talent pour le shamisen (un instrument de musique traditionnel), Shunkin lui enseigne tout ce qu’elle a appris. Jusqu’à la fin du roman, le lecteur restera incertain : qui a défiguré la si belle Shunkin à l’eau bouillante ? rendant ainsi possible l’amour de Sasuke qui, pour être à la hauteur du sacrifice, se prive délibérément de la vue.
Dans Un amour insensé, Tanizaki dévoile son projet en ouverture, dès les premières lignes : « Je me propose de raconter le plus honnêtement possible, sans rien déguiser, dans sa vérité nue, notre vie conjugale, dont le monde apparemment n’offre pas beaucoup d’autres exemples ».
Pour la plupart, ces oeuvres ont pour arrière-plan une société urbaine, occidentalisante et pervertie. Tanizaki a même créé un genre, « le naomisme », du nom de l’héroïne émancipée, Naomi, qui a servi d’emblème à son époque. Toutes développent les thèmes de la sensualité, de la fascination pour le corps de la femme et l’art pervers de la séduction. L’homme ou la femme aux prises avec leurs passions ne connaissent plus de limite : le meurtre sans scrupule et sans remords s’inscrit dans leur logique intime et s’impose tout naturellement comme la meilleure issue au terme de jeux spéculatifs déchirants.
Les passions mènent leur propre jeu, indifférentes à toute morale, à tout bon sens. On en voit l’aspect cocasse dans Le Chat, son maître et ses deux maîtresses où Tanizaki choisit une chatte comme objet d’adoration. Dans Shunkin, Tanizaki développe avec cruauté la passion contrariée d’une jeune fille d’une grande beauté devenue aveugle à 8 ans (Shunkin) et de son serviteur Sasuke, qui l’accompagne tous les jours chez son maître de musique où il retient fort bien l’enseignement destiné à sa seule maîtresse.
Shunkin exerce tous les raffinements de la cruauté et de l’humiliation à son encontre jusqu’au moment où découvrant son talent pour le shamisen (un instrument de musique traditionnel), Shunkin lui enseigne tout ce qu’elle a appris. Jusqu’à la fin du roman, le lecteur restera incertain : qui a défiguré la si belle Shunkin à l’eau bouillante ? rendant ainsi possible l’amour de Sasuke qui, pour être à la hauteur du sacrifice, se prive délibérément de la vue.
Dans Un amour insensé, Tanizaki dévoile son projet en ouverture, dès les premières lignes : « Je me propose de raconter le plus honnêtement possible, sans rien déguiser, dans sa vérité nue, notre vie conjugale, dont le monde apparemment n’offre pas beaucoup d’autres exemples ».
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