Romans

Par : Michel Henry
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  • Nombre de pages548
  • PrésentationRelié
  • FormatGrand Format
  • Poids0.625 kg
  • Dimensions17,0 cm × 23,0 cm × 2,2 cm
  • ISBN978-2-35088-012-9
  • EAN9782350880129
  • Date de parution06/04/2009
  • CollectionEncre marine
  • ÉditeurBelles Lettres
  • PréfacierAnne Henry

Résumé

" J'adore raconter des histoires ", disait Michel Henry. Littérature et philosophie avaient pour lui une finalité commune, exposer la réponse à cette question qui a décidé dès sa jeunesse de son engagement intellectuel : " Je voulais savoir qui j'étais. " Sa conception de l'individu, enraciné à son insu dans l'absolu et " tâtonnant dans la nuit intérieure de sa subjectivité concrète ", se prêtait au déploiement d'un imaginaire.
Si depuis toujours la littérature décrit la condition des êtres et leur destin, il entendait en dévoiler l'arrière-plan, exploitant l'incertitude dans laquelle ils évoluent: la vie est incapable de se mettre à distance d'elle-même dans sa naïveté, même quand sa force se libère de sa passivité première. " Les êtres humains, disait-il, sont des nageurs lâchés dans un océan, et supportés par lui, par ses vagues.
Et c'est cela la vie: c'est une vague qui se sent elle-même. " Le véritable protagoniste de ses histoires principielles n'est donc autre que la vie, ce qui est plus vaste que nous-même, tout en étant nous-même. L'ordre chronologique dans lequel sont présentés ces récits est destiné à faire valoir ce qu'il qualifiait " la tension terrible de la vie " : Le Jeune Officier (1954) traite de la découverte paradoxale de soi ; L'Amour, les yeux fermés (prix Renaudot 1976) expose le rapport dramatique de l'individu et de la communauté ; Le Fils du Roi (1981) met en scène le paradoxe de l'existence.
Une préface donne des indications, recueillies dans des entretiens ou des manuscrits de Michel Henry, sur leur composition.
" J'adore raconter des histoires ", disait Michel Henry. Littérature et philosophie avaient pour lui une finalité commune, exposer la réponse à cette question qui a décidé dès sa jeunesse de son engagement intellectuel : " Je voulais savoir qui j'étais. " Sa conception de l'individu, enraciné à son insu dans l'absolu et " tâtonnant dans la nuit intérieure de sa subjectivité concrète ", se prêtait au déploiement d'un imaginaire.
Si depuis toujours la littérature décrit la condition des êtres et leur destin, il entendait en dévoiler l'arrière-plan, exploitant l'incertitude dans laquelle ils évoluent: la vie est incapable de se mettre à distance d'elle-même dans sa naïveté, même quand sa force se libère de sa passivité première. " Les êtres humains, disait-il, sont des nageurs lâchés dans un océan, et supportés par lui, par ses vagues.
Et c'est cela la vie: c'est une vague qui se sent elle-même. " Le véritable protagoniste de ses histoires principielles n'est donc autre que la vie, ce qui est plus vaste que nous-même, tout en étant nous-même. L'ordre chronologique dans lequel sont présentés ces récits est destiné à faire valoir ce qu'il qualifiait " la tension terrible de la vie " : Le Jeune Officier (1954) traite de la découverte paradoxale de soi ; L'Amour, les yeux fermés (prix Renaudot 1976) expose le rapport dramatique de l'individu et de la communauté ; Le Fils du Roi (1981) met en scène le paradoxe de l'existence.
Une préface donne des indications, recueillies dans des entretiens ou des manuscrits de Michel Henry, sur leur composition.
Marx
Michel Henry
Poche
19,50 €