Risques majeurs et institutions en Nouvelle-Calédonie

Par : Bernard Chérioux, Jean-Yves Faberon

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  • Nombre de pages420
  • PrésentationBroché
  • Poids0.67 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 2,3 cm
  • ISBN978-2-7314-0749-5
  • EAN9782731407495
  • Date de parution01/01/2011
  • ÉditeurPU Aix-Marseille

Résumé

La question des risques, et plus particulièrement des risques majeurs est familière en Nouvelle-Calédonie, collectivité française tropicale. Elle y concerne tout le monde : risques naturels (cyclones, tsunamis...), risques technologiques (pollution par les entreprises...), risques sanitaires (épidémies de dengue, grippe...). II s'agit à la fois de problèmes de la vie quotidienne et de grands bouleversements de celle-ci.
Le transfert des compétences en matière de sécurité civile à la collectivité de Nouvelle-Calédonie est prévu par l'accord de Nouméa, et la loi organique statutaire dispose qu'il doit être réalisé au plus tard à la fin de 2011. C'est une échéance particulièrement importante. En effet, c'est l'ordre public, domaine régalien, qui est en jeu lorsque survient une situation de crise liée à une catastrophe, et c'est l'armée, la gendarmerie nationale, qui sont impliquées ; les sapeurs pompiers jouent un rôle déterminant.
Ce transfert a donc des répercussions plus fondamentales que ceux qui l'ont précédé, à l'égard du processus de l'accord de Nouméa lui-même. Aussi les travaux ici réunis du colloque qui s'est tenu à Nouméa en octobre 2010 ont opéré la nécessaire expertise de la prévention et de la réalisation des risques majeurs en Nouvelle-Calédonie. La méthode de cette analyse a consisté d'une part à faire appel à des universitaires et spécialistes nationaux de ces questions pour en exposer les thématiques générales, et d'autre part à réunir à des tables rondes, dans leur diversité, tous les acteurs de terrain des différents services locaux impliqués concrètement dans ces problématiques dont on mesurera les spécificités dans les évolutions calédoniennes.
La question des risques, et plus particulièrement des risques majeurs est familière en Nouvelle-Calédonie, collectivité française tropicale. Elle y concerne tout le monde : risques naturels (cyclones, tsunamis...), risques technologiques (pollution par les entreprises...), risques sanitaires (épidémies de dengue, grippe...). II s'agit à la fois de problèmes de la vie quotidienne et de grands bouleversements de celle-ci.
Le transfert des compétences en matière de sécurité civile à la collectivité de Nouvelle-Calédonie est prévu par l'accord de Nouméa, et la loi organique statutaire dispose qu'il doit être réalisé au plus tard à la fin de 2011. C'est une échéance particulièrement importante. En effet, c'est l'ordre public, domaine régalien, qui est en jeu lorsque survient une situation de crise liée à une catastrophe, et c'est l'armée, la gendarmerie nationale, qui sont impliquées ; les sapeurs pompiers jouent un rôle déterminant.
Ce transfert a donc des répercussions plus fondamentales que ceux qui l'ont précédé, à l'égard du processus de l'accord de Nouméa lui-même. Aussi les travaux ici réunis du colloque qui s'est tenu à Nouméa en octobre 2010 ont opéré la nécessaire expertise de la prévention et de la réalisation des risques majeurs en Nouvelle-Calédonie. La méthode de cette analyse a consisté d'une part à faire appel à des universitaires et spécialistes nationaux de ces questions pour en exposer les thématiques générales, et d'autre part à réunir à des tables rondes, dans leur diversité, tous les acteurs de terrain des différents services locaux impliqués concrètement dans ces problématiques dont on mesurera les spécificités dans les évolutions calédoniennes.