Risque de contrepartie dans les relations de crédit bancaire à long terme en R.D.Congo

Par : Gaston Mayembe Bin Mastaki
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  • Nombre de pages484
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.758 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,6 cm
  • ISBN978-2-14-028627-8
  • EAN9782140286278
  • Date de parution15/09/2022
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

A travers cet ouvrage, l'auteur explique pourquoi les établissements de crédit ne sont fondamentalement pas des entreprises comme les autres, de sorte que leur gouvernance devrait être spéciale. Pour éviter une prise de risque excessive, il propose deux mesures au niveau de la supervision bancaire à savoir l'aléa moral des établissements de crédit associés aux filets de sécurité officiels, qu'il faut à tout prix réduire. D'une part, la Banque Centrale du Congo devra reconsidérer son rôle de prêteur de dernier ressort, de façon à inciter les déposants et surtout les plus grands d'entre eux à prendre en main le contrôle et la discipline des établissements de crédit et, d'autre part, repenser le statut juridique conféré aux actionnaires dans ses institutions par le droit Ohada. Si la responsabilité des actionnaires vis-à-vis des déposants et autres créanciers reste illimitée, c'est-à-dire élargie sur leurs avoirs, ils seront plus prudents dans la gestion de l'établissement et se mettront à l'abri de toute incitation inverse en matière de politique d'octroi de crédit.
A travers cet ouvrage, l'auteur explique pourquoi les établissements de crédit ne sont fondamentalement pas des entreprises comme les autres, de sorte que leur gouvernance devrait être spéciale. Pour éviter une prise de risque excessive, il propose deux mesures au niveau de la supervision bancaire à savoir l'aléa moral des établissements de crédit associés aux filets de sécurité officiels, qu'il faut à tout prix réduire. D'une part, la Banque Centrale du Congo devra reconsidérer son rôle de prêteur de dernier ressort, de façon à inciter les déposants et surtout les plus grands d'entre eux à prendre en main le contrôle et la discipline des établissements de crédit et, d'autre part, repenser le statut juridique conféré aux actionnaires dans ses institutions par le droit Ohada. Si la responsabilité des actionnaires vis-à-vis des déposants et autres créanciers reste illimitée, c'est-à-dire élargie sur leurs avoirs, ils seront plus prudents dans la gestion de l'établissement et se mettront à l'abri de toute incitation inverse en matière de politique d'octroi de crédit.