Rire et sourire dans la littérature latine au Moyen-Âge et à la Renaissance
Par : ,Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 8 juillet et le 16 juilletCet article sera commandé chez un fournisseur et sera expédié 6 à 12 jours après la date de votre commande.
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 8 juillet et le 16 juillet
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages254
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.405 kg
- Dimensions15,0 cm × 23,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-36441-334-4
- EAN9782364413344
- Date de parution31/10/2019
- CollectionEcritures
- ÉditeurEU de Dijon
Résumé
Comment rire(s) et sourire(s) s'inscrivent-ils dans la littérature latine du Moyen Age et de la Renaissance ? Les chercheurs latinistes européens qui ont contribué au présent ouvrage posent cette question un demi-siècle après la publication à Dijon d'un classique : l'Essai sur le rire et le sourire des Latins d'Eugène de Saint-Denis. Loin d'être confinée à un cercle restreint d'érudits, la littérature latine de ces époques est extrêmement variée.
Elle est populaire et savante, scolaire et intellectuelle, théorique et ancrée dans la réalité. Elle couvre tous les genres et tous les tons. Le rire des Anciens, entre héritage et réinterprétation, a déterminé en partie le rire médiéval et renaissant, l'influençant par les oeuvres elles-mêmes comme par les textes théoriques. Mais clercs et humanistes ont su développer un rire qui leur est spécifique par ses enjeux, ses formes nouvelles, sa nature même, multiple et complexe.
Ils ont aussi cherché à définir ce qu'étaient spécifiquement, pour leur temps, le rire et le sourire.
Elle est populaire et savante, scolaire et intellectuelle, théorique et ancrée dans la réalité. Elle couvre tous les genres et tous les tons. Le rire des Anciens, entre héritage et réinterprétation, a déterminé en partie le rire médiéval et renaissant, l'influençant par les oeuvres elles-mêmes comme par les textes théoriques. Mais clercs et humanistes ont su développer un rire qui leur est spécifique par ses enjeux, ses formes nouvelles, sa nature même, multiple et complexe.
Ils ont aussi cherché à définir ce qu'étaient spécifiquement, pour leur temps, le rire et le sourire.
Comment rire(s) et sourire(s) s'inscrivent-ils dans la littérature latine du Moyen Age et de la Renaissance ? Les chercheurs latinistes européens qui ont contribué au présent ouvrage posent cette question un demi-siècle après la publication à Dijon d'un classique : l'Essai sur le rire et le sourire des Latins d'Eugène de Saint-Denis. Loin d'être confinée à un cercle restreint d'érudits, la littérature latine de ces époques est extrêmement variée.
Elle est populaire et savante, scolaire et intellectuelle, théorique et ancrée dans la réalité. Elle couvre tous les genres et tous les tons. Le rire des Anciens, entre héritage et réinterprétation, a déterminé en partie le rire médiéval et renaissant, l'influençant par les oeuvres elles-mêmes comme par les textes théoriques. Mais clercs et humanistes ont su développer un rire qui leur est spécifique par ses enjeux, ses formes nouvelles, sa nature même, multiple et complexe.
Ils ont aussi cherché à définir ce qu'étaient spécifiquement, pour leur temps, le rire et le sourire.
Elle est populaire et savante, scolaire et intellectuelle, théorique et ancrée dans la réalité. Elle couvre tous les genres et tous les tons. Le rire des Anciens, entre héritage et réinterprétation, a déterminé en partie le rire médiéval et renaissant, l'influençant par les oeuvres elles-mêmes comme par les textes théoriques. Mais clercs et humanistes ont su développer un rire qui leur est spécifique par ses enjeux, ses formes nouvelles, sa nature même, multiple et complexe.
Ils ont aussi cherché à définir ce qu'étaient spécifiquement, pour leur temps, le rire et le sourire.