Récit au fond
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- Nombre de pages58
- PrésentationBroché
- Poids0.6 kg
- Dimensions10,0 cm × 18,0 cm × 0,5 cm
- ISBN979-10-96373-02-4
- EAN9791096373024
- Date de parution15/02/2017
- ÉditeurLa Déviation
Résumé
"C'est sûr, un Récit au fond, on se dit que ça ne doit pas être très joyeux ; quelque chose comme une grave dépression, l'annonce d'un suicide en préparation. Eh bien non ! désolé pour ceux qui cherchent de la narration de premier degré, ce texte est comme mes autres écrits : de la fiction ! Répétons-le donc ici à satiété : si la vie est littérature, la réciproque est vraie également ; évidemment à des niveaux inattendus : l'imagination y flirte joyeusement avec le cerveau reptilien, les pulsions, l'inconscient...
Le vrai plaisir de l'écrivain, c'est bien de se laisser glisser dans un rôle (ici, le " schizo-machin-chose ", qui s'en sort finalement mieux avec la poésie qu'avec les médicaments) pour le voir évoluer en toute liberté au fil d'un synopsis qui n'est jamais vraiment écrit. A dire vrai, ce personnage, je le découvre comme chacun de vous, en le laissant se débattre avec sa maladie, ses angoisses, sa mémoire et ses délires ; un psychiatre consciencieux le découvrirait aussi sans doute comme ce qu'il est, comme une psyché brute, hors des catégories dûment recensées.
Il me faut toutefois exprimer un regret : n'étant décidément pas romancier, cette expérience mentale restera donc minimaliste... pour l'instant. Essayez donc d'imaginer un écrivain russe sur l'affaire." Michel Narbonne, la vie est littérature.
Le vrai plaisir de l'écrivain, c'est bien de se laisser glisser dans un rôle (ici, le " schizo-machin-chose ", qui s'en sort finalement mieux avec la poésie qu'avec les médicaments) pour le voir évoluer en toute liberté au fil d'un synopsis qui n'est jamais vraiment écrit. A dire vrai, ce personnage, je le découvre comme chacun de vous, en le laissant se débattre avec sa maladie, ses angoisses, sa mémoire et ses délires ; un psychiatre consciencieux le découvrirait aussi sans doute comme ce qu'il est, comme une psyché brute, hors des catégories dûment recensées.
Il me faut toutefois exprimer un regret : n'étant décidément pas romancier, cette expérience mentale restera donc minimaliste... pour l'instant. Essayez donc d'imaginer un écrivain russe sur l'affaire." Michel Narbonne, la vie est littérature.
"C'est sûr, un Récit au fond, on se dit que ça ne doit pas être très joyeux ; quelque chose comme une grave dépression, l'annonce d'un suicide en préparation. Eh bien non ! désolé pour ceux qui cherchent de la narration de premier degré, ce texte est comme mes autres écrits : de la fiction ! Répétons-le donc ici à satiété : si la vie est littérature, la réciproque est vraie également ; évidemment à des niveaux inattendus : l'imagination y flirte joyeusement avec le cerveau reptilien, les pulsions, l'inconscient...
Le vrai plaisir de l'écrivain, c'est bien de se laisser glisser dans un rôle (ici, le " schizo-machin-chose ", qui s'en sort finalement mieux avec la poésie qu'avec les médicaments) pour le voir évoluer en toute liberté au fil d'un synopsis qui n'est jamais vraiment écrit. A dire vrai, ce personnage, je le découvre comme chacun de vous, en le laissant se débattre avec sa maladie, ses angoisses, sa mémoire et ses délires ; un psychiatre consciencieux le découvrirait aussi sans doute comme ce qu'il est, comme une psyché brute, hors des catégories dûment recensées.
Il me faut toutefois exprimer un regret : n'étant décidément pas romancier, cette expérience mentale restera donc minimaliste... pour l'instant. Essayez donc d'imaginer un écrivain russe sur l'affaire." Michel Narbonne, la vie est littérature.
Le vrai plaisir de l'écrivain, c'est bien de se laisser glisser dans un rôle (ici, le " schizo-machin-chose ", qui s'en sort finalement mieux avec la poésie qu'avec les médicaments) pour le voir évoluer en toute liberté au fil d'un synopsis qui n'est jamais vraiment écrit. A dire vrai, ce personnage, je le découvre comme chacun de vous, en le laissant se débattre avec sa maladie, ses angoisses, sa mémoire et ses délires ; un psychiatre consciencieux le découvrirait aussi sans doute comme ce qu'il est, comme une psyché brute, hors des catégories dûment recensées.
Il me faut toutefois exprimer un regret : n'étant décidément pas romancier, cette expérience mentale restera donc minimaliste... pour l'instant. Essayez donc d'imaginer un écrivain russe sur l'affaire." Michel Narbonne, la vie est littérature.