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- Nombre de pages118
- PrésentationBroché
- Poids0.146 kg
- Dimensions13,6 cm × 17,5 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-36229-052-7
- EAN9782362290527
- Date de parution03/09/2013
- CollectionL'autre langue
- ÉditeurDoucey éditions
Résumé
"Discrétion de l'averse", "Mots sans racines", "Mirage", "Saison de sel" : les poèmes de ce recueil nous rappellent que Salah Al Hamdani vient d'une région de sable et de vent. Un royaume dévasté par la dictature, les guerres et le terrorisme. Un pays à reconstruire. Avec des mots simples et un lyrisme à la puissance contenue, le poète n'évoque pas seulement l'exil qui est le sien, sa mère restée dans la guerre ou les victimes d'une déchirure qui semble ne jamais vouloir prendre fin.
Il s'attache aussi à la renaissance que lui offre sa terre d'asile, se fait passeur de culture entre les rives de la Méditerranée. J'éprouve de la fierté à publier ce poète d'origine irakienne qui adopte notre langue pour célébrer l'héritage d'Albert Camus et dire sans détour : "si Bagdad m'a fait naître la France m'a fait homme".
Il s'attache aussi à la renaissance que lui offre sa terre d'asile, se fait passeur de culture entre les rives de la Méditerranée. J'éprouve de la fierté à publier ce poète d'origine irakienne qui adopte notre langue pour célébrer l'héritage d'Albert Camus et dire sans détour : "si Bagdad m'a fait naître la France m'a fait homme".
"Discrétion de l'averse", "Mots sans racines", "Mirage", "Saison de sel" : les poèmes de ce recueil nous rappellent que Salah Al Hamdani vient d'une région de sable et de vent. Un royaume dévasté par la dictature, les guerres et le terrorisme. Un pays à reconstruire. Avec des mots simples et un lyrisme à la puissance contenue, le poète n'évoque pas seulement l'exil qui est le sien, sa mère restée dans la guerre ou les victimes d'une déchirure qui semble ne jamais vouloir prendre fin.
Il s'attache aussi à la renaissance que lui offre sa terre d'asile, se fait passeur de culture entre les rives de la Méditerranée. J'éprouve de la fierté à publier ce poète d'origine irakienne qui adopte notre langue pour célébrer l'héritage d'Albert Camus et dire sans détour : "si Bagdad m'a fait naître la France m'a fait homme".
Il s'attache aussi à la renaissance que lui offre sa terre d'asile, se fait passeur de culture entre les rives de la Méditerranée. J'éprouve de la fierté à publier ce poète d'origine irakienne qui adopte notre langue pour célébrer l'héritage d'Albert Camus et dire sans détour : "si Bagdad m'a fait naître la France m'a fait homme".