Questions à Thalassios. Tome 2 (questions 41 à 55)
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- Nombre de pages301
- PrésentationBroché
- Poids0.328 kg
- Dimensions12,5 cm × 19,5 cm × 2,5 cm
- ISBN978-2-204-09932-5
- EAN9782204099325
- Date de parution30/08/2012
- CollectionSources Chrétiennes
- ÉditeurCerf
- TraducteurFrançoise Vinel
- AnnotateurJean-Claude Larchet
Résumé
Les "Questions à Thalassios" sont l'une des oeuvres les plus importantes de Maxime le Confesseur (580-662). Elles ont sans doute été écrites entre 630 et 634, alors que Maxime, fuyant l'invasion des Perses et des Avars, séjournait dans un monastère près de Carthage. Thalassios, higoumène d'un monastère libyen, avait posé à Maxime soixante-cinq questions sur des passages difficiles de l'Ecriture. Dans ses réponses, celui-ci manie avec une grande virtuosité l'exégèse allégorique. Les thèmes les plus divers y sont abordés sans ordre, mais peu à peu se dégage une vision théologique, cosmologique, anthropologique et spirituelle cohérente et profonde. Cette pensée originale, aussi puissante qu'exigeante, a exercé une grande influence dans l'Orient byzantin, notamment sur Jean Damascène, et aussi dans l'Occident latin, grâce à une traduction faite au IXe siècle par Jean Scot Erigène. Elle fascine aujourd'hui encore nombre de théologiens des différentes Eglises.
Les "Questions à Thalassios" sont l'une des oeuvres les plus importantes de Maxime le Confesseur (580-662). Elles ont sans doute été écrites entre 630 et 634, alors que Maxime, fuyant l'invasion des Perses et des Avars, séjournait dans un monastère près de Carthage. Thalassios, higoumène d'un monastère libyen, avait posé à Maxime soixante-cinq questions sur des passages difficiles de l'Ecriture. Dans ses réponses, celui-ci manie avec une grande virtuosité l'exégèse allégorique. Les thèmes les plus divers y sont abordés sans ordre, mais peu à peu se dégage une vision théologique, cosmologique, anthropologique et spirituelle cohérente et profonde. Cette pensée originale, aussi puissante qu'exigeante, a exercé une grande influence dans l'Orient byzantin, notamment sur Jean Damascène, et aussi dans l'Occident latin, grâce à une traduction faite au IXe siècle par Jean Scot Erigène. Elle fascine aujourd'hui encore nombre de théologiens des différentes Eglises.