Quand la raison faillit perdre l'esprit. La rationalité mise à l'épreuve de la Guerre froide
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- Nombre de pages313
- PrésentationBroché
- Poids0.415 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,0 cm × 1,9 cm
- ISBN978-2-930601-16-8
- EAN9782930601168
- Date de parution16/05/2015
- ÉditeurZones Sensibles
Résumé
Aux Etats-Unis, au plus fort de la Guerre froide, un nouveau projet visant à redéfinir la rationalité suscita l'intérêt d'intellectuels brillants, de politiciens influents, de fondations fortunées et des hauts cercles de l'armée. En s'appuyant sur les sciences humaines (psychologie, sociologie, sciences politiques ou économiques), ces différents acteurs s'engagèrent dans une campagne intellectuelle visant à comprendre ce que la «rationalité» devrait être et de quelle manière elle pourrait être investie.
Quand la raison faillit perdre l'esprit remet en scène ceux qui jouèrent un rôle clef dans ce programme (Herbert Simon, Oskar Morgenstern, Herman Kahn, Anatol Rapoport, Thomas Schelling et bien d'autres encore), ainsi que les institutions qui les appuyèrent - la RAND Corporation, le Center for Advanced Study in the Behavioral Sciences, la Cowles Commission for Research and Economics, le Council on Foreign Relations.
Ces décideurs exploitèrent cette vision de la rationalité (optimisation, rationalité algorithmique et mécanique) dans leur quête de compréhension de phénomènes aussi divers que l'économie des transactions, l'évolution biologique, les élections politiques, les relations internationales ou la stratégie militaire. En plongeant le lecteur dans le climat intellectuel de la Guerre froide, cet ouvrage expose ce qu'être «rationnel» signifiait dans un monde au bord du précipice nucléaire.
Quand la raison faillit perdre l'esprit remet en scène ceux qui jouèrent un rôle clef dans ce programme (Herbert Simon, Oskar Morgenstern, Herman Kahn, Anatol Rapoport, Thomas Schelling et bien d'autres encore), ainsi que les institutions qui les appuyèrent - la RAND Corporation, le Center for Advanced Study in the Behavioral Sciences, la Cowles Commission for Research and Economics, le Council on Foreign Relations.
Ces décideurs exploitèrent cette vision de la rationalité (optimisation, rationalité algorithmique et mécanique) dans leur quête de compréhension de phénomènes aussi divers que l'économie des transactions, l'évolution biologique, les élections politiques, les relations internationales ou la stratégie militaire. En plongeant le lecteur dans le climat intellectuel de la Guerre froide, cet ouvrage expose ce qu'être «rationnel» signifiait dans un monde au bord du précipice nucléaire.
Aux Etats-Unis, au plus fort de la Guerre froide, un nouveau projet visant à redéfinir la rationalité suscita l'intérêt d'intellectuels brillants, de politiciens influents, de fondations fortunées et des hauts cercles de l'armée. En s'appuyant sur les sciences humaines (psychologie, sociologie, sciences politiques ou économiques), ces différents acteurs s'engagèrent dans une campagne intellectuelle visant à comprendre ce que la «rationalité» devrait être et de quelle manière elle pourrait être investie.
Quand la raison faillit perdre l'esprit remet en scène ceux qui jouèrent un rôle clef dans ce programme (Herbert Simon, Oskar Morgenstern, Herman Kahn, Anatol Rapoport, Thomas Schelling et bien d'autres encore), ainsi que les institutions qui les appuyèrent - la RAND Corporation, le Center for Advanced Study in the Behavioral Sciences, la Cowles Commission for Research and Economics, le Council on Foreign Relations.
Ces décideurs exploitèrent cette vision de la rationalité (optimisation, rationalité algorithmique et mécanique) dans leur quête de compréhension de phénomènes aussi divers que l'économie des transactions, l'évolution biologique, les élections politiques, les relations internationales ou la stratégie militaire. En plongeant le lecteur dans le climat intellectuel de la Guerre froide, cet ouvrage expose ce qu'être «rationnel» signifiait dans un monde au bord du précipice nucléaire.
Quand la raison faillit perdre l'esprit remet en scène ceux qui jouèrent un rôle clef dans ce programme (Herbert Simon, Oskar Morgenstern, Herman Kahn, Anatol Rapoport, Thomas Schelling et bien d'autres encore), ainsi que les institutions qui les appuyèrent - la RAND Corporation, le Center for Advanced Study in the Behavioral Sciences, la Cowles Commission for Research and Economics, le Council on Foreign Relations.
Ces décideurs exploitèrent cette vision de la rationalité (optimisation, rationalité algorithmique et mécanique) dans leur quête de compréhension de phénomènes aussi divers que l'économie des transactions, l'évolution biologique, les élections politiques, les relations internationales ou la stratégie militaire. En plongeant le lecteur dans le climat intellectuel de la Guerre froide, cet ouvrage expose ce qu'être «rationnel» signifiait dans un monde au bord du précipice nucléaire.