Qu'est ce que le pic d'une épidémie et comment le contrôler
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- Nombre de pages234
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.245 kg
- Dimensions12,7 cm × 19,2 cm × 1,4 cm
- ISBN978-2-84225-275-5
- EAN9782842252755
- Date de parution14/04/2021
- ÉditeurCoédition Cassini/Spartacus
- PréfacierNicolas Bouleau
Résumé
Chercheur, ayant enseigné à l'université les mathématiques pendant plus de vingt ans aux étudiants en sciences de la vie, Claude Lobry nous montre que, décidément, oui, la modélisation mathématique et numérique fait bien partie de la science moderne. Sans utiliser les arguments sophistiqués que sa fréquentation de l'épistémologie des mathématiques pourrait lui suggérer (car il est aussi docteur en philosophie), il décrit la façon, ni compliquée, ni mystérieuse, dont fonctionnent les modèles mathématiques des épidémies et pourquoi ils permettent de faire des prévisions.
Mais une science de qualité a un coût. Claude Lobry montre, en comparant avec d'autres domaines, que les moyens mis à disposition de la modélisation dans le cadre de la santé publique sont dramatiquement insuffisants. Pourtant, depuis plus de trente ans, les biologistes de l'évolution nous alertent sur l'inéluctable survenue de pandémies telles que celle que nous subissons : une recherche structurée et pérenne en modélisation des épidémies humaines, incluant l'étude des comportements, nous aurait, certes, coûté chaque année quelques dizaines de millions d'euros, mais les études qu'elle aurait pu produire auraient fait économiser des milliards en nous renseignant sur les bonnes et les mauvaises façons d'anticiper et de gérer ce genre de crises.
Mais une science de qualité a un coût. Claude Lobry montre, en comparant avec d'autres domaines, que les moyens mis à disposition de la modélisation dans le cadre de la santé publique sont dramatiquement insuffisants. Pourtant, depuis plus de trente ans, les biologistes de l'évolution nous alertent sur l'inéluctable survenue de pandémies telles que celle que nous subissons : une recherche structurée et pérenne en modélisation des épidémies humaines, incluant l'étude des comportements, nous aurait, certes, coûté chaque année quelques dizaines de millions d'euros, mais les études qu'elle aurait pu produire auraient fait économiser des milliards en nous renseignant sur les bonnes et les mauvaises façons d'anticiper et de gérer ce genre de crises.
Chercheur, ayant enseigné à l'université les mathématiques pendant plus de vingt ans aux étudiants en sciences de la vie, Claude Lobry nous montre que, décidément, oui, la modélisation mathématique et numérique fait bien partie de la science moderne. Sans utiliser les arguments sophistiqués que sa fréquentation de l'épistémologie des mathématiques pourrait lui suggérer (car il est aussi docteur en philosophie), il décrit la façon, ni compliquée, ni mystérieuse, dont fonctionnent les modèles mathématiques des épidémies et pourquoi ils permettent de faire des prévisions.
Mais une science de qualité a un coût. Claude Lobry montre, en comparant avec d'autres domaines, que les moyens mis à disposition de la modélisation dans le cadre de la santé publique sont dramatiquement insuffisants. Pourtant, depuis plus de trente ans, les biologistes de l'évolution nous alertent sur l'inéluctable survenue de pandémies telles que celle que nous subissons : une recherche structurée et pérenne en modélisation des épidémies humaines, incluant l'étude des comportements, nous aurait, certes, coûté chaque année quelques dizaines de millions d'euros, mais les études qu'elle aurait pu produire auraient fait économiser des milliards en nous renseignant sur les bonnes et les mauvaises façons d'anticiper et de gérer ce genre de crises.
Mais une science de qualité a un coût. Claude Lobry montre, en comparant avec d'autres domaines, que les moyens mis à disposition de la modélisation dans le cadre de la santé publique sont dramatiquement insuffisants. Pourtant, depuis plus de trente ans, les biologistes de l'évolution nous alertent sur l'inéluctable survenue de pandémies telles que celle que nous subissons : une recherche structurée et pérenne en modélisation des épidémies humaines, incluant l'étude des comportements, nous aurait, certes, coûté chaque année quelques dizaines de millions d'euros, mais les études qu'elle aurait pu produire auraient fait économiser des milliards en nous renseignant sur les bonnes et les mauvaises façons d'anticiper et de gérer ce genre de crises.