Pierre Emmanuel, poète du Samedi Saint

Par : Anne Simonnet

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  • Nombre de pages172
  • PrésentationBroché
  • Poids0.226 kg
  • Dimensions13,9 cm × 20,9 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-84573-872-0
  • EAN9782845738720
  • Date de parution01/04/2010
  • ÉditeurParole et Silence
  • PréfacierDominique Ponnau

Résumé

A la mort de Pierre Emmanuel, en 1984, les journaux saluaient en lui " une de ces consciences hugoliennes qui savent, quand il le faut, mettre leur art au service de leurs convictions " (L'humanité), un " poète prophète de notre temps, un des plus grands que nous ayons eu " dont " tout le discours (...) est pour élever notre regard et nous dire d'espérer " (Ouest-France), " un grand témoin de notre siècle, un des plus grands poètes francais de ce siècle, un des plus ambitieux et des plus riches de sens " (Le Quotidien de Paris). Aujourd'hui, malgré l'édition des OEuvres poétiques complètes (L'Age d'Homme), le silence est tombé sur son oeuvre. Pourtant, attentif à son temps, ce poète était capable de lire le présent à la lumière de l'éternité. " Partout ", écrivait Olivier Clément dans France catholique (1985), " il voyait le signe d'une double absence : "Dieu enseveli dans l'homme athée" et "l'homme enfoui dans la pensée que Dieu est mort" ". L'histoire en était pour lui au samedi saint. Orientant notre regard vers la Vie à venir, il " réamorce le sens " lorsque menace l'absurde, " dans l'attente d'une inimaginable et peut-être imminente résurrection ".
A la mort de Pierre Emmanuel, en 1984, les journaux saluaient en lui " une de ces consciences hugoliennes qui savent, quand il le faut, mettre leur art au service de leurs convictions " (L'humanité), un " poète prophète de notre temps, un des plus grands que nous ayons eu " dont " tout le discours (...) est pour élever notre regard et nous dire d'espérer " (Ouest-France), " un grand témoin de notre siècle, un des plus grands poètes francais de ce siècle, un des plus ambitieux et des plus riches de sens " (Le Quotidien de Paris). Aujourd'hui, malgré l'édition des OEuvres poétiques complètes (L'Age d'Homme), le silence est tombé sur son oeuvre. Pourtant, attentif à son temps, ce poète était capable de lire le présent à la lumière de l'éternité. " Partout ", écrivait Olivier Clément dans France catholique (1985), " il voyait le signe d'une double absence : "Dieu enseveli dans l'homme athée" et "l'homme enfoui dans la pensée que Dieu est mort" ". L'histoire en était pour lui au samedi saint. Orientant notre regard vers la Vie à venir, il " réamorce le sens " lorsque menace l'absurde, " dans l'attente d'une inimaginable et peut-être imminente résurrection ".