Philosophie et droits de l'homme de Kant à Lévinas

Par : Lionel Ponton

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  • Nombre de pages207
  • PrésentationBroché
  • Poids0.215 kg
  • Dimensions13,0 cm × 18,0 cm × 1,2 cm
  • ISBN2-7116-1022-5
  • EAN9782711610228
  • Date de parution01/09/1990
  • CollectionPour demain
  • ÉditeurVrin
  • PréfacierGilbert Hottois

Résumé

Les études réunies sous le titre Philosophie et droit de l'homme de Kant à Lévinas reflètent la richesse et la complexité, depuis la Révolution française, de la réflexion philosophique sur les droits de l'homme. Les droits de l'homme exigent-ils la constitution d'une République ou sont-ils simplement les principes régulateurs du droit existant ? Se ramènent-ils aux droits primordiaux traditionnels ou englobent-ils aussi les droits économiques et sociaux ? Sont-ils l'expression du ressentiment des faibles ou plutôt un don du christianisme et de l'aristocratie à la masse du peuple ? Comment expliquer leur manque de validité en notre siècle qui a connu l'accroissement du nombre des apatrides et la montée des totalitarismes ? L'apartheid est devenu un thème philosophique.
L'humanisme de type cartésien auquel se rattachent les droits de l'homme est lui-même remis en question au profit de l'humanisme de l'autre homme. Le mot d'ambiguïté vient à l'esprit. S'il s'agit d'une mauvaise ambiguïté, il importe au plus haut point de la dissiper.
Les études réunies sous le titre Philosophie et droit de l'homme de Kant à Lévinas reflètent la richesse et la complexité, depuis la Révolution française, de la réflexion philosophique sur les droits de l'homme. Les droits de l'homme exigent-ils la constitution d'une République ou sont-ils simplement les principes régulateurs du droit existant ? Se ramènent-ils aux droits primordiaux traditionnels ou englobent-ils aussi les droits économiques et sociaux ? Sont-ils l'expression du ressentiment des faibles ou plutôt un don du christianisme et de l'aristocratie à la masse du peuple ? Comment expliquer leur manque de validité en notre siècle qui a connu l'accroissement du nombre des apatrides et la montée des totalitarismes ? L'apartheid est devenu un thème philosophique.
L'humanisme de type cartésien auquel se rattachent les droits de l'homme est lui-même remis en question au profit de l'humanisme de l'autre homme. Le mot d'ambiguïté vient à l'esprit. S'il s'agit d'une mauvaise ambiguïté, il importe au plus haut point de la dissiper.