Petite revue de parcs anglais

Par : Hermann von Pückler-Muskau

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  • Nombre de pages145
  • PrésentationBroché
  • Poids0.22 kg
  • Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 1,1 cm
  • ISBN978-2-252-03951-9
  • EAN9782252039519
  • Date de parution22/10/2014
  • CollectionL'esprit et les formes
  • ÉditeurKlincksieck
  • PréfacierJohann Wolfgang von Goethe
  • TraducteurEryck de Rubercy

Résumé

Envoûté par la nature, c'est au cours d'un séjour en Angleterre, commencé en octobre 1826 et qui devait durer plus de deux ans, en le menant au Pays de Galles et en Irlande, que le prince Hermann von Pückler-Muskau (1785-1871) perfectionna sa théorie de l'art du jardin paysager au contact des admirables parcs qu'il y visita. Aussi avait-il le droit de dire, comme il le confia en décembre 1828 à sa femme restée en Allemagne, que cette tournée de "métier", selon son expression, avait fait de lui "un parfait jardinier", ce que les Anglais appellent un "landscape gardener".
C'est que, pendant cette séparation, la correspondance était allée bon train avec son épouse à qui il écrivait presque quotidiennement. A Londres déjà, il avait songé à rendre publiques ces lettres, mais c'est à son retour chez lui, à Muskau, qu'il les publia sous le titre Briefe eines Verstorbenen (Lettres d'un défunt) avant qu'il ne fasse paraître en 1834 ses fameux Aperçus sur l'art du jardin paysager.
L'édition établie par Eryck de Rubercy donne à lire dans sa traduction tous les extraits de ces Lettres d'un défunt relatifs aux parcs visités par Pückler-Muskau qui a fini par constituer sa Petite revue de parcs anglais, que ce dernier fixe avec une vérité saisissante dans des descriptions lui réussissant si bien qu'il est "impossible de ne pas croire qu'il a saisi l'objet qu'il avait devant les yeux pour le déposer avec sa plume sur le papier".
C'est du moins ce que Goethe fit entendre dans un article inédit figurant en avant-propos du présent ouvrage qui comporte aussi en postface un texte sur la tradition de l'art du jardin paysager anglais par Eryck de Rubercy.
Envoûté par la nature, c'est au cours d'un séjour en Angleterre, commencé en octobre 1826 et qui devait durer plus de deux ans, en le menant au Pays de Galles et en Irlande, que le prince Hermann von Pückler-Muskau (1785-1871) perfectionna sa théorie de l'art du jardin paysager au contact des admirables parcs qu'il y visita. Aussi avait-il le droit de dire, comme il le confia en décembre 1828 à sa femme restée en Allemagne, que cette tournée de "métier", selon son expression, avait fait de lui "un parfait jardinier", ce que les Anglais appellent un "landscape gardener".
C'est que, pendant cette séparation, la correspondance était allée bon train avec son épouse à qui il écrivait presque quotidiennement. A Londres déjà, il avait songé à rendre publiques ces lettres, mais c'est à son retour chez lui, à Muskau, qu'il les publia sous le titre Briefe eines Verstorbenen (Lettres d'un défunt) avant qu'il ne fasse paraître en 1834 ses fameux Aperçus sur l'art du jardin paysager.
L'édition établie par Eryck de Rubercy donne à lire dans sa traduction tous les extraits de ces Lettres d'un défunt relatifs aux parcs visités par Pückler-Muskau qui a fini par constituer sa Petite revue de parcs anglais, que ce dernier fixe avec une vérité saisissante dans des descriptions lui réussissant si bien qu'il est "impossible de ne pas croire qu'il a saisi l'objet qu'il avait devant les yeux pour le déposer avec sa plume sur le papier".
C'est du moins ce que Goethe fit entendre dans un article inédit figurant en avant-propos du présent ouvrage qui comporte aussi en postface un texte sur la tradition de l'art du jardin paysager anglais par Eryck de Rubercy.