Petit traité de la vie intérieure. Suivi de Lettres à Eugène Dupont

Par : François Libermann

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  • Nombre de pages164
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.165 kg
  • Dimensions11,9 cm × 18,5 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-908825-98-5
  • EAN9782908825985
  • Date de parution08/09/2011
  • Collectionles carnets spirituels
  • ÉditeurArfuyen
  • PréfacierPaul Coulon

Résumé

François Libermann est né à Saverne, en Alsace, le 12 avril 1802 et mort à Paris le 2 février 1852. Issu d'une famille de rabbins et destiné à le devenir, c'est très tardivement qu'il épouse la foi catholique. Baptisé à Paris en 1826 à l'âge de 24 ans, il commence des études de philosophie au collège Stanislas (1827), puis entre au séminaire de Saint-Sulpice (1831). Souffrant d'épilepsie, il n'est pas admis à recevoir l'ordination au sous-diaconat.
On l'autorise toutefois au séminaire d'Issy pour y faire les courses et les travaux du jardin. Il y reste six ans. Appelé en 1837 par les Eudistes de Rennes à diriger leur noviciat, il y fait l'expérience d'un nouvel échec. A la suite d'une longue période de crise se produit en lui une nouvelle révolution qui détermine sa vocation de missionnaire. Le 3 décembre 1839, il part pour Rome et y prépare les statuts d'une nouvelle congrégation.
Son projet est approuvé, sa santé s'améliore : il reçoit enfin, en 1841, l'ordination sacerdotale. Trois jours après est fondée la Société du Saint-Coeur de Marie. Grâce à l'énergie inépuisable et aux talents d'organisateur de Libermann, la Congrégation connais en Afrique un rapide essor. Elle fusionnera, le 26 septembre 1848, avec la Congrégation du Saint-Esprit, dont François Libermann deviendra ainsi le deuxième Fondateur.
François Libermann est né à Saverne, en Alsace, le 12 avril 1802 et mort à Paris le 2 février 1852. Issu d'une famille de rabbins et destiné à le devenir, c'est très tardivement qu'il épouse la foi catholique. Baptisé à Paris en 1826 à l'âge de 24 ans, il commence des études de philosophie au collège Stanislas (1827), puis entre au séminaire de Saint-Sulpice (1831). Souffrant d'épilepsie, il n'est pas admis à recevoir l'ordination au sous-diaconat.
On l'autorise toutefois au séminaire d'Issy pour y faire les courses et les travaux du jardin. Il y reste six ans. Appelé en 1837 par les Eudistes de Rennes à diriger leur noviciat, il y fait l'expérience d'un nouvel échec. A la suite d'une longue période de crise se produit en lui une nouvelle révolution qui détermine sa vocation de missionnaire. Le 3 décembre 1839, il part pour Rome et y prépare les statuts d'une nouvelle congrégation.
Son projet est approuvé, sa santé s'améliore : il reçoit enfin, en 1841, l'ordination sacerdotale. Trois jours après est fondée la Société du Saint-Coeur de Marie. Grâce à l'énergie inépuisable et aux talents d'organisateur de Libermann, la Congrégation connais en Afrique un rapide essor. Elle fusionnera, le 26 septembre 1848, avec la Congrégation du Saint-Esprit, dont François Libermann deviendra ainsi le deuxième Fondateur.