Onça! Les jaguars du Mato Grosso.

Par : Tony de almeida

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  • Nombre de pages404
  • PrésentationBroché
  • Poids0.74 kg
  • Dimensions17,0 cm × 24,0 cm × 3,2 cm
  • ISBN978-2-35653-013-4
  • EAN9782356530134
  • Date de parution08/12/2009
  • CollectionLes aventuriers voyageurs
  • ÉditeurMontbel

Résumé

"Le petit Zaide s'est porté volontaire pour entrer dans la grotte avec moi, mais je craignais que les balles ne ricochent dans l'espace restreint et j'ai décliné sa proposition courageuse. Dantas devait me tenir par les chevilles et me tirer en arrière au premier coup de feu. Alors, la torche dans une main, le revolver 357 dans l'autre, j'ai rampé sur le ventre. La grotte était large mais basse. J'avais la moitié du corps à l'intérieur et je ne voyais toujours pas le jaguar.
Un grondement terrible a empli la caverne. C'était trop tard pour revenir en arrière et je n'avais pas assez de place pour bouger. J'ai avancé d'une cinquantaine de centimètres, provoquant aussitôt un grognement. Restait à pouvoir tirer avant qu'il n'attaque. Je me suis encore glissé en poussant sur mes pieds et soudain j'ai vu une patte qui pendait, rien d'autre, le plafond de la grotte masquait le reste.
Une autre petite poussée, la gueule est apparue, encore une autre et toute la tête s'est montrée. Le félin était tapi sur une saillie, face à moi, à 3 m. Il regardait la lampe d'un air sinistre, inclinant légèrement la tête vers le bas comme pour mieux voir. C'était la position parfaite, j'ai visé juste au-dessus de l'éclat vert de ses yeux et j'ai tiré. L'éclair et la poussière qui volait m'ont aveuglé.
Personne ne me tirait de là. Il m'a fallu quelques secondes pour y voir : la tête du félin tacheté pendait sur le côté. L'onça était mort".
"Le petit Zaide s'est porté volontaire pour entrer dans la grotte avec moi, mais je craignais que les balles ne ricochent dans l'espace restreint et j'ai décliné sa proposition courageuse. Dantas devait me tenir par les chevilles et me tirer en arrière au premier coup de feu. Alors, la torche dans une main, le revolver 357 dans l'autre, j'ai rampé sur le ventre. La grotte était large mais basse. J'avais la moitié du corps à l'intérieur et je ne voyais toujours pas le jaguar.
Un grondement terrible a empli la caverne. C'était trop tard pour revenir en arrière et je n'avais pas assez de place pour bouger. J'ai avancé d'une cinquantaine de centimètres, provoquant aussitôt un grognement. Restait à pouvoir tirer avant qu'il n'attaque. Je me suis encore glissé en poussant sur mes pieds et soudain j'ai vu une patte qui pendait, rien d'autre, le plafond de la grotte masquait le reste.
Une autre petite poussée, la gueule est apparue, encore une autre et toute la tête s'est montrée. Le félin était tapi sur une saillie, face à moi, à 3 m. Il regardait la lampe d'un air sinistre, inclinant légèrement la tête vers le bas comme pour mieux voir. C'était la position parfaite, j'ai visé juste au-dessus de l'éclat vert de ses yeux et j'ai tiré. L'éclair et la poussière qui volait m'ont aveuglé.
Personne ne me tirait de là. Il m'a fallu quelques secondes pour y voir : la tête du félin tacheté pendait sur le côté. L'onça était mort".