Ohrdruf, le camp oublié de Buchenwald. Un survivant témoigne

Par : Marcel Lanoiselée

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  • Nombre de pages158
  • PrésentationBroché
  • Poids0.21 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,0 cm × 1,3 cm
  • ISBN2-86477-215-9
  • EAN9782864772156
  • Date de parution21/03/2005
  • ÉditeurPicollec
  • PréfacierRenaud Donnedieu de Vabres

Résumé

Janvier 1944. Marcel Lanoiselée, jeune résistant du mouvement Franc-Tireur, est déporté à Buchenwald. Huit mois plus tard, il est transféré à Ohrdruf, le dernier camp d'extermination par le travail ouvert par les nazis. Là, pendant de longs mois, aux côtés de son ami espagnol Dorotheo, il endure des conditions de vie inhumaines : la faim, les maladies, le froid, les cadences impitoyables, les camarades qui tombent les uns après les autres, les corps décharnés qu'il faut entasser dans les camions et conduire aux fours crématoires... Et surtout il assiste, en témoin impuissant, aux bastonnades et aux tortures, aux exécutions sommaires et arbitraires, à un véritable déferlement de barbarie. À travers ce journal écrit, comme le définit l'auteur lui-même, " le plus simplement possible, avec des mots justes, mais qui ne pourront exactement décrire l'incommunicable ", Marcel Lanoiselée nous livre un témoignage historique précieux sur ce camp de la mort méconnu, pourtant le premier libéré en territoire allemand par les Anglo-Saxons, en avril 1945.
Janvier 1944. Marcel Lanoiselée, jeune résistant du mouvement Franc-Tireur, est déporté à Buchenwald. Huit mois plus tard, il est transféré à Ohrdruf, le dernier camp d'extermination par le travail ouvert par les nazis. Là, pendant de longs mois, aux côtés de son ami espagnol Dorotheo, il endure des conditions de vie inhumaines : la faim, les maladies, le froid, les cadences impitoyables, les camarades qui tombent les uns après les autres, les corps décharnés qu'il faut entasser dans les camions et conduire aux fours crématoires... Et surtout il assiste, en témoin impuissant, aux bastonnades et aux tortures, aux exécutions sommaires et arbitraires, à un véritable déferlement de barbarie. À travers ce journal écrit, comme le définit l'auteur lui-même, " le plus simplement possible, avec des mots justes, mais qui ne pourront exactement décrire l'incommunicable ", Marcel Lanoiselée nous livre un témoignage historique précieux sur ce camp de la mort méconnu, pourtant le premier libéré en territoire allemand par les Anglo-Saxons, en avril 1945.