Ocularistes et yeux artificiels. De l'Antiquité au XXe siècle

Par : Jean-Pierre Martin

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  • Nombre de pages105
  • PrésentationBroché
  • Poids0.15 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 0,7 cm
  • ISBN978-2-343-05112-3
  • EAN9782343051123
  • Date de parution15/01/2015
  • CollectionMédecine à travers les siècles
  • ÉditeurL'Harmattan
  • PréfacierXavier Riaud

Résumé

La perte d'un oeil, moment terrible dans une existence, cause, au-delà de la perte de la vision, un préjudice esthétique qui attire le regard des autres. Depuis l'Antiquité, à l'aide de prothèses en matériaux variés, les hommes ont cherché à compenser ce handicap esthétique. La domestication du verre à la Renaissance, avec le talent des verriers de Murano, puis de l'émail par les artisans parisiens, a permis de fabriquer des yeux artificiels dont le réalisme était trompeur.
Quelques émailleurs se sont spécialisés dans la fabrication des prothèses oculaires, ont affiné les techniques, amélioré la qualité et la résistance des matériaux utilisés. De nos jours, les résines plastiques ont pris la place de l'émail et du verre, même si en Allemagne et dans les pays de l'Est, ces matières sont toujours utilisées. Faute de pouvoir, malgré une recherche médicale toujours plus ambitieuse, rendre leur fonctionnalité à des yeux considérés comme perdus, les prothèses oculaires sont toujours le seul moyen de compenser esthétiquement la perte d'un oeil.
Cet ouvrage retrace l'évolution des yeux artificiels, et celle des ocularistes, artisans spécialisés dans leur fabrication. Une liste non exhaustive des principaux ocularistes français avant 1900 complète ce travail.
La perte d'un oeil, moment terrible dans une existence, cause, au-delà de la perte de la vision, un préjudice esthétique qui attire le regard des autres. Depuis l'Antiquité, à l'aide de prothèses en matériaux variés, les hommes ont cherché à compenser ce handicap esthétique. La domestication du verre à la Renaissance, avec le talent des verriers de Murano, puis de l'émail par les artisans parisiens, a permis de fabriquer des yeux artificiels dont le réalisme était trompeur.
Quelques émailleurs se sont spécialisés dans la fabrication des prothèses oculaires, ont affiné les techniques, amélioré la qualité et la résistance des matériaux utilisés. De nos jours, les résines plastiques ont pris la place de l'émail et du verre, même si en Allemagne et dans les pays de l'Est, ces matières sont toujours utilisées. Faute de pouvoir, malgré une recherche médicale toujours plus ambitieuse, rendre leur fonctionnalité à des yeux considérés comme perdus, les prothèses oculaires sont toujours le seul moyen de compenser esthétiquement la perte d'un oeil.
Cet ouvrage retrace l'évolution des yeux artificiels, et celle des ocularistes, artisans spécialisés dans leur fabrication. Une liste non exhaustive des principaux ocularistes français avant 1900 complète ce travail.