Notes sans titre. Mumyôshô : Propos sur les poètes et la poèsie

Par : Kamo No Chômei
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  • Nombre de pages222
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.218 kg
  • Dimensions11,8 cm × 17,0 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-35873-023-5
  • EAN9782358730235
  • Date de parution27/11/2010
  • ÉditeurBruit du temps (Le)
  • TraducteurClaire-Akiko Brisset
  • TraducteurJacqueline Pigeot
  • TraducteurDaniel Struve

Résumé

" Il arrive aussi qu'une dame récemment entrée au Palais, ou au contraire rompue à tous ses usages, vous adresse, en guise de ce qu'elles appellent "une équivoque", un ou deux vers d'un poème que vous n'avez jamais entendu. Si on comprend ce qu'elle veut dire, on lui répondra comme on veut. Mais si le sens reste obscur, on peut répondre par un simple "Vous n'y songez pas..." Pareille réponse est adaptée à tous les cas. Elle convient aussi bien pour le cas où la dame vous exprime son amour que pour celui où elle vous fait des reproches ou se plaint de vous. Si vous le dites sur un ton de fâcherie, vous semblerez avoir cédé à un mouvement d'humeur, mais vous pourrez toujours tourner le reproche en un spirituel badinage." Kamo no Chômei, " Des procédés pour le cas où une femme vous adresse un poème ", Notes sans titre, vers 1212.
" Il arrive aussi qu'une dame récemment entrée au Palais, ou au contraire rompue à tous ses usages, vous adresse, en guise de ce qu'elles appellent "une équivoque", un ou deux vers d'un poème que vous n'avez jamais entendu. Si on comprend ce qu'elle veut dire, on lui répondra comme on veut. Mais si le sens reste obscur, on peut répondre par un simple "Vous n'y songez pas..." Pareille réponse est adaptée à tous les cas. Elle convient aussi bien pour le cas où la dame vous exprime son amour que pour celui où elle vous fait des reproches ou se plaint de vous. Si vous le dites sur un ton de fâcherie, vous semblerez avoir cédé à un mouvement d'humeur, mais vous pourrez toujours tourner le reproche en un spirituel badinage." Kamo no Chômei, " Des procédés pour le cas où une femme vous adresse un poème ", Notes sans titre, vers 1212.