Mondes nomades
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- Nombre de pages80
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.175 kg
- Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 0,8 cm
- ISBN978-88-366-3627-3
- EAN9788836636273
- Date de parution01/10/2017
- ÉditeurSilvana Editoriale
- Commissaire d'expositionHélène Guenin
- InterviewerChristophe Gallois
Résumé
L'artiste déploie depuis plus de 10 ans un univers singulier, oscillant entre une réflexion sur notre expérience subjective du temps et de l'espace et des oeuvres traversées par la littérature et la poésie. Son expérience de vie nomade, prise entre deux cultures et plusieurs langues, a donné lieu à une exploration sensible des questions d'exil, de mémoire mais aussi des conventions géographiques qu'il investit par sa subjectivité.
Installations, vidéos, dessins, projets participatifs dessinent la carte d'un monde où les trajectoires reflètent les itinéraires personnels et posent la question du multiculturalisme. Ainsi, la phrase de l'écrivain et poète portugais Fernando Pessoa Tenho em mim todos os sonhos do mundo (" je porte en moi tous les rêves du monde ") reproduite à partir de clous, dialoguera dans la galerie contemporaine avec une intervention murale, évanescente et proliférante.
Réalisée à partir de simples tampons administratifs et d'encre, cette inscription forever immigrant, évoquant de furtives nuées, une vue de la voie lactée ou des paysages imaginaires, déploie sur le mur, des mots qui scellent le destin de l'artiste : celui d'un voyageur du monde affirmant sa non-appartenance à un territoire. Voyageur immobile, comme dans ses " Mondes nomades ", planisphères découpés en lamelles verticales selon les fuseaux horaires et présentés entremêlés, hors de toute convention géographique, ou arpenteur infatigable et téméraire des limites géographiques et bouts du monde, comme dans cette vidéo Cabo du roca où l'artiste se déplace sur l'extrême crête du point le plus occidental de l'Europe, situé au sud du Portugal.
L'exposition au MAMAC a donné lieu à la création de pièces nouvelles et à la réalisation d'une performance collective qui s'est déroulée tout au long de l'exposition et au-delà : Horizon retrouvé, consistant à récupérer au cours de marches, des cordes, fils, câbles abandonnés au hasard des rues afin de recréer une longue ligne nouée, correspondant à la longueur des côtes françaises sur la mer Méditerranée.
Installations, vidéos, dessins, projets participatifs dessinent la carte d'un monde où les trajectoires reflètent les itinéraires personnels et posent la question du multiculturalisme. Ainsi, la phrase de l'écrivain et poète portugais Fernando Pessoa Tenho em mim todos os sonhos do mundo (" je porte en moi tous les rêves du monde ") reproduite à partir de clous, dialoguera dans la galerie contemporaine avec une intervention murale, évanescente et proliférante.
Réalisée à partir de simples tampons administratifs et d'encre, cette inscription forever immigrant, évoquant de furtives nuées, une vue de la voie lactée ou des paysages imaginaires, déploie sur le mur, des mots qui scellent le destin de l'artiste : celui d'un voyageur du monde affirmant sa non-appartenance à un territoire. Voyageur immobile, comme dans ses " Mondes nomades ", planisphères découpés en lamelles verticales selon les fuseaux horaires et présentés entremêlés, hors de toute convention géographique, ou arpenteur infatigable et téméraire des limites géographiques et bouts du monde, comme dans cette vidéo Cabo du roca où l'artiste se déplace sur l'extrême crête du point le plus occidental de l'Europe, situé au sud du Portugal.
L'exposition au MAMAC a donné lieu à la création de pièces nouvelles et à la réalisation d'une performance collective qui s'est déroulée tout au long de l'exposition et au-delà : Horizon retrouvé, consistant à récupérer au cours de marches, des cordes, fils, câbles abandonnés au hasard des rues afin de recréer une longue ligne nouée, correspondant à la longueur des côtes françaises sur la mer Méditerranée.
L'artiste déploie depuis plus de 10 ans un univers singulier, oscillant entre une réflexion sur notre expérience subjective du temps et de l'espace et des oeuvres traversées par la littérature et la poésie. Son expérience de vie nomade, prise entre deux cultures et plusieurs langues, a donné lieu à une exploration sensible des questions d'exil, de mémoire mais aussi des conventions géographiques qu'il investit par sa subjectivité.
Installations, vidéos, dessins, projets participatifs dessinent la carte d'un monde où les trajectoires reflètent les itinéraires personnels et posent la question du multiculturalisme. Ainsi, la phrase de l'écrivain et poète portugais Fernando Pessoa Tenho em mim todos os sonhos do mundo (" je porte en moi tous les rêves du monde ") reproduite à partir de clous, dialoguera dans la galerie contemporaine avec une intervention murale, évanescente et proliférante.
Réalisée à partir de simples tampons administratifs et d'encre, cette inscription forever immigrant, évoquant de furtives nuées, une vue de la voie lactée ou des paysages imaginaires, déploie sur le mur, des mots qui scellent le destin de l'artiste : celui d'un voyageur du monde affirmant sa non-appartenance à un territoire. Voyageur immobile, comme dans ses " Mondes nomades ", planisphères découpés en lamelles verticales selon les fuseaux horaires et présentés entremêlés, hors de toute convention géographique, ou arpenteur infatigable et téméraire des limites géographiques et bouts du monde, comme dans cette vidéo Cabo du roca où l'artiste se déplace sur l'extrême crête du point le plus occidental de l'Europe, situé au sud du Portugal.
L'exposition au MAMAC a donné lieu à la création de pièces nouvelles et à la réalisation d'une performance collective qui s'est déroulée tout au long de l'exposition et au-delà : Horizon retrouvé, consistant à récupérer au cours de marches, des cordes, fils, câbles abandonnés au hasard des rues afin de recréer une longue ligne nouée, correspondant à la longueur des côtes françaises sur la mer Méditerranée.
Installations, vidéos, dessins, projets participatifs dessinent la carte d'un monde où les trajectoires reflètent les itinéraires personnels et posent la question du multiculturalisme. Ainsi, la phrase de l'écrivain et poète portugais Fernando Pessoa Tenho em mim todos os sonhos do mundo (" je porte en moi tous les rêves du monde ") reproduite à partir de clous, dialoguera dans la galerie contemporaine avec une intervention murale, évanescente et proliférante.
Réalisée à partir de simples tampons administratifs et d'encre, cette inscription forever immigrant, évoquant de furtives nuées, une vue de la voie lactée ou des paysages imaginaires, déploie sur le mur, des mots qui scellent le destin de l'artiste : celui d'un voyageur du monde affirmant sa non-appartenance à un territoire. Voyageur immobile, comme dans ses " Mondes nomades ", planisphères découpés en lamelles verticales selon les fuseaux horaires et présentés entremêlés, hors de toute convention géographique, ou arpenteur infatigable et téméraire des limites géographiques et bouts du monde, comme dans cette vidéo Cabo du roca où l'artiste se déplace sur l'extrême crête du point le plus occidental de l'Europe, situé au sud du Portugal.
L'exposition au MAMAC a donné lieu à la création de pièces nouvelles et à la réalisation d'une performance collective qui s'est déroulée tout au long de l'exposition et au-delà : Horizon retrouvé, consistant à récupérer au cours de marches, des cordes, fils, câbles abandonnés au hasard des rues afin de recréer une longue ligne nouée, correspondant à la longueur des côtes françaises sur la mer Méditerranée.