Mon ambassade en Russie soviétique (1917-1919)
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- Nombre de pages460
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.714 kg
- Dimensions15,0 cm × 24,0 cm × 3,7 cm
- ISBN978-2-87623-668-4
- EAN9782876236684
- Date de parution28/09/2017
- CollectionLe quai
- ÉditeurMichel de Maule
- PréfacierJean de Gliniasty
Résumé
Joseph Noulens n'était pas un diplomate de carrière. C'était un homme politique de premier plan comme la troisième République, tout à la préparation de la Revanche sur l'Allemagne, avait su en engendrer. [...] L'intérêt de ses "Souvenirs" est triple. Joseph Noulens écrit d'abord une page d'histoire, ensuite il rend compte avec précision du travail d'un diplomate en temps de crise, enfin c'est un vrai roman d'aventure que l'auteur, sans doute imprégné de la lecture de Jules Vernes, raconte sans trop se mettre en avant mais avec la conscience d'avoir été à la hauteur des événements.
La page d'histoire est avant tout celle de l'incroyable désordre qui règne en Russie après la Révolution de Février. La rupture progressive des relations entre la Russie des bolcheviks et l'Europe occidentale est illustrée par de nombreux épisodes vécus par Noulens. Il organise la migration du corps diplomatique en Finlande d'où, rattrapé par la guerre, il doit regagner la Russie et se rendre à Vologda.
Il résiste au harcèlement auquel sont soumis les diplomates alliés. Il révèle les ambiguïtés américaines à l'égard des soviets. Il témoigne du début des purges et de la répression de masse. Il observe les hésitations soviétiques sur le traitement à accorder aux alliés. Il déjoue la tentative russe d'utiliser la coopération française pour former la jeune armée rouge en faisant miroiter une plus forte résistance à l'influence allemande à défaut d'une reprise des combats.
Il soutient la création d'un "gouvernement du Nord" acquis aux Alliés et appuyé par une force alliée débarquée à Arkhangelsk. Il admire les exploits de la Légion Tchèque. Enfin il rentre vers la France à travers la Scandinavie. [...] Le tableau qu'il trace de l'Europe centrale et orientale au sortir de la défaite allemande et de la Révolution russe reste, cent ans après, d'une surprenante et inquiétante actualité.
Jean de Gliniasty.
La page d'histoire est avant tout celle de l'incroyable désordre qui règne en Russie après la Révolution de Février. La rupture progressive des relations entre la Russie des bolcheviks et l'Europe occidentale est illustrée par de nombreux épisodes vécus par Noulens. Il organise la migration du corps diplomatique en Finlande d'où, rattrapé par la guerre, il doit regagner la Russie et se rendre à Vologda.
Il résiste au harcèlement auquel sont soumis les diplomates alliés. Il révèle les ambiguïtés américaines à l'égard des soviets. Il témoigne du début des purges et de la répression de masse. Il observe les hésitations soviétiques sur le traitement à accorder aux alliés. Il déjoue la tentative russe d'utiliser la coopération française pour former la jeune armée rouge en faisant miroiter une plus forte résistance à l'influence allemande à défaut d'une reprise des combats.
Il soutient la création d'un "gouvernement du Nord" acquis aux Alliés et appuyé par une force alliée débarquée à Arkhangelsk. Il admire les exploits de la Légion Tchèque. Enfin il rentre vers la France à travers la Scandinavie. [...] Le tableau qu'il trace de l'Europe centrale et orientale au sortir de la défaite allemande et de la Révolution russe reste, cent ans après, d'une surprenante et inquiétante actualité.
Jean de Gliniasty.
Joseph Noulens n'était pas un diplomate de carrière. C'était un homme politique de premier plan comme la troisième République, tout à la préparation de la Revanche sur l'Allemagne, avait su en engendrer. [...] L'intérêt de ses "Souvenirs" est triple. Joseph Noulens écrit d'abord une page d'histoire, ensuite il rend compte avec précision du travail d'un diplomate en temps de crise, enfin c'est un vrai roman d'aventure que l'auteur, sans doute imprégné de la lecture de Jules Vernes, raconte sans trop se mettre en avant mais avec la conscience d'avoir été à la hauteur des événements.
La page d'histoire est avant tout celle de l'incroyable désordre qui règne en Russie après la Révolution de Février. La rupture progressive des relations entre la Russie des bolcheviks et l'Europe occidentale est illustrée par de nombreux épisodes vécus par Noulens. Il organise la migration du corps diplomatique en Finlande d'où, rattrapé par la guerre, il doit regagner la Russie et se rendre à Vologda.
Il résiste au harcèlement auquel sont soumis les diplomates alliés. Il révèle les ambiguïtés américaines à l'égard des soviets. Il témoigne du début des purges et de la répression de masse. Il observe les hésitations soviétiques sur le traitement à accorder aux alliés. Il déjoue la tentative russe d'utiliser la coopération française pour former la jeune armée rouge en faisant miroiter une plus forte résistance à l'influence allemande à défaut d'une reprise des combats.
Il soutient la création d'un "gouvernement du Nord" acquis aux Alliés et appuyé par une force alliée débarquée à Arkhangelsk. Il admire les exploits de la Légion Tchèque. Enfin il rentre vers la France à travers la Scandinavie. [...] Le tableau qu'il trace de l'Europe centrale et orientale au sortir de la défaite allemande et de la Révolution russe reste, cent ans après, d'une surprenante et inquiétante actualité.
Jean de Gliniasty.
La page d'histoire est avant tout celle de l'incroyable désordre qui règne en Russie après la Révolution de Février. La rupture progressive des relations entre la Russie des bolcheviks et l'Europe occidentale est illustrée par de nombreux épisodes vécus par Noulens. Il organise la migration du corps diplomatique en Finlande d'où, rattrapé par la guerre, il doit regagner la Russie et se rendre à Vologda.
Il résiste au harcèlement auquel sont soumis les diplomates alliés. Il révèle les ambiguïtés américaines à l'égard des soviets. Il témoigne du début des purges et de la répression de masse. Il observe les hésitations soviétiques sur le traitement à accorder aux alliés. Il déjoue la tentative russe d'utiliser la coopération française pour former la jeune armée rouge en faisant miroiter une plus forte résistance à l'influence allemande à défaut d'une reprise des combats.
Il soutient la création d'un "gouvernement du Nord" acquis aux Alliés et appuyé par une force alliée débarquée à Arkhangelsk. Il admire les exploits de la Légion Tchèque. Enfin il rentre vers la France à travers la Scandinavie. [...] Le tableau qu'il trace de l'Europe centrale et orientale au sortir de la défaite allemande et de la Révolution russe reste, cent ans après, d'une surprenante et inquiétante actualité.
Jean de Gliniasty.