Mikhail Kouzmine. Vivre en artiste (1872-1936)
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- Nombre de pages475
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.8 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 3,5 cm
- ISBN978-2-918444-36-7
- EAN9782918444367
- Date de parution06/10/2018
- CollectionDocuments
- ÉditeurErosOnyx
- TraducteurYvan Quintin
- TraducteurPierre Lacroix
Résumé
Voici la première biographie, riche de trente ans de recherches sur la vie, l'époque et l'oeuvre de Mikhaïl Alexeïevitch Kouzmine (1872-1936), compositeur, romancier, critique musical et littéraire, homme de théâtre et surtout poète. Née de la rencontre de deux chercheurs passionnés, l'un américain et l'autre russe, qui font ici revivre - pour le grand public comme pour les érudits - un artiste couronné en son temps, puis tué à petit feu par la bien-pensance et le totalitarisme soviétiques.
S'y croisent plusieurs faisceaux : citations de l'oeuvre, documents officiels, témoignages et surtout - matériau irremplaçable pour une recherche approfondie - écrits privés, journal intime et correspondance, révélés parla brève période de glasnost que connut la Russie dans les années 1990. Les auteurs éclairent ainsi ce qu'il y a d'organique et de perpétuellement mouvant chez Kouzmine. Ils tracent le destin de cet Icare finalement foudroyé mais parvenu à se vivre en artiste, à se conquérir lentement et fièrement gay, à affronter les aléas de l'Histoire sans se renier et à affirmer, grâce à l'art, ses vivants paradoxes.
Il a refusé la malédiction jetée sur Eros aussi bien par les fidèles de la religion orthodoxe que les sbires athées du populisme anti-bourgeois. Il a concilié dans la beauté l'appel de l'absolu mystique et la chair de ses amants.
S'y croisent plusieurs faisceaux : citations de l'oeuvre, documents officiels, témoignages et surtout - matériau irremplaçable pour une recherche approfondie - écrits privés, journal intime et correspondance, révélés parla brève période de glasnost que connut la Russie dans les années 1990. Les auteurs éclairent ainsi ce qu'il y a d'organique et de perpétuellement mouvant chez Kouzmine. Ils tracent le destin de cet Icare finalement foudroyé mais parvenu à se vivre en artiste, à se conquérir lentement et fièrement gay, à affronter les aléas de l'Histoire sans se renier et à affirmer, grâce à l'art, ses vivants paradoxes.
Il a refusé la malédiction jetée sur Eros aussi bien par les fidèles de la religion orthodoxe que les sbires athées du populisme anti-bourgeois. Il a concilié dans la beauté l'appel de l'absolu mystique et la chair de ses amants.
Voici la première biographie, riche de trente ans de recherches sur la vie, l'époque et l'oeuvre de Mikhaïl Alexeïevitch Kouzmine (1872-1936), compositeur, romancier, critique musical et littéraire, homme de théâtre et surtout poète. Née de la rencontre de deux chercheurs passionnés, l'un américain et l'autre russe, qui font ici revivre - pour le grand public comme pour les érudits - un artiste couronné en son temps, puis tué à petit feu par la bien-pensance et le totalitarisme soviétiques.
S'y croisent plusieurs faisceaux : citations de l'oeuvre, documents officiels, témoignages et surtout - matériau irremplaçable pour une recherche approfondie - écrits privés, journal intime et correspondance, révélés parla brève période de glasnost que connut la Russie dans les années 1990. Les auteurs éclairent ainsi ce qu'il y a d'organique et de perpétuellement mouvant chez Kouzmine. Ils tracent le destin de cet Icare finalement foudroyé mais parvenu à se vivre en artiste, à se conquérir lentement et fièrement gay, à affronter les aléas de l'Histoire sans se renier et à affirmer, grâce à l'art, ses vivants paradoxes.
Il a refusé la malédiction jetée sur Eros aussi bien par les fidèles de la religion orthodoxe que les sbires athées du populisme anti-bourgeois. Il a concilié dans la beauté l'appel de l'absolu mystique et la chair de ses amants.
S'y croisent plusieurs faisceaux : citations de l'oeuvre, documents officiels, témoignages et surtout - matériau irremplaçable pour une recherche approfondie - écrits privés, journal intime et correspondance, révélés parla brève période de glasnost que connut la Russie dans les années 1990. Les auteurs éclairent ainsi ce qu'il y a d'organique et de perpétuellement mouvant chez Kouzmine. Ils tracent le destin de cet Icare finalement foudroyé mais parvenu à se vivre en artiste, à se conquérir lentement et fièrement gay, à affronter les aléas de l'Histoire sans se renier et à affirmer, grâce à l'art, ses vivants paradoxes.
Il a refusé la malédiction jetée sur Eros aussi bien par les fidèles de la religion orthodoxe que les sbires athées du populisme anti-bourgeois. Il a concilié dans la beauté l'appel de l'absolu mystique et la chair de ses amants.