Mémoires ou Opinion sur les affaires de mon temps. Tome 3, Le Congrès de Vienne (1814-1815)

Par : Charles-Maurice de Talleyrand

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  • Nombre de pages287
  • PrésentationBroché
  • Poids0.42 kg
  • Dimensions14,5 cm × 21,0 cm × 2,5 cm
  • ISBN978-2-84909-124-1
  • EAN9782849091241
  • Date de parution15/08/2013
  • CollectionSources histoire de France
  • ÉditeurPaléo

Résumé

"Alliées... dis-je, et contre qui ? Ce n'est plus contre Napoléon: il est à l'île d'Elbe... ; ce n'est plus contre la France : la paix est faite... ; ce n'est sûrement pas contre le roi de France : il est garant de la durée de cette paix. Messieurs, parlons franchement, s'il y a encore des puissances alliées, je suis de trop ici. Et cependant, si je n'étais pas ici, je vous manquerais essentiellement. Messieurs, je suis peut-être le seul qui ne demande rien. De grands égards, c'est là tout ce que je veux pour la France. Elle est assez puissante par ses ressources, par son étendue, par le nombre et l'esprit de ses habitants, par la contiguïté de ses provinces, par l'unité de son administration, par les défenses dont la nature et l'art ont garanti ses frontières. Je ne veux rien, je vous le répète ; et je vous apporte immensément... " Discours d'ouverture du prince de Talleyrand au Congrès de Vienne.
"Alliées... dis-je, et contre qui ? Ce n'est plus contre Napoléon: il est à l'île d'Elbe... ; ce n'est plus contre la France : la paix est faite... ; ce n'est sûrement pas contre le roi de France : il est garant de la durée de cette paix. Messieurs, parlons franchement, s'il y a encore des puissances alliées, je suis de trop ici. Et cependant, si je n'étais pas ici, je vous manquerais essentiellement. Messieurs, je suis peut-être le seul qui ne demande rien. De grands égards, c'est là tout ce que je veux pour la France. Elle est assez puissante par ses ressources, par son étendue, par le nombre et l'esprit de ses habitants, par la contiguïté de ses provinces, par l'unité de son administration, par les défenses dont la nature et l'art ont garanti ses frontières. Je ne veux rien, je vous le répète ; et je vous apporte immensément... " Discours d'ouverture du prince de Talleyrand au Congrès de Vienne.