Mallarmé - Morisot. Correspondance 1876 - 1895

Par : Stéphane Mallarmé, Berthe Morisot

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  • Nombre de pages139
  • PrésentationBroché
  • Poids0.16 kg
  • Dimensions12,0 cm × 19,5 cm × 0,9 cm
  • ISBN978-2-88453-154-2
  • EAN9782884531542
  • Date de parution01/10/2009
  • ÉditeurBibliothèque des Arts (La)

Résumé

Cette édition entièrement revue et augmentée a été enrichie par de nouvelles illustrations, dont certaines inédites, ainsi que par plusieurs textes, dont l'un de Henri de Régnier sur l'amitié entre Stéphane Mallarmé et Berthe Morisot et un poème sur cette dernière. Commencée en 1876, la correspondance échangée entre Stéphane Mallarmé et Berthe Morisot devint régulière à partir de 1886. A la lecture de ces lettres, on découvre leur intimité ainsi que la profonde et indéfectible amitié qui s'est nouée entre ces deux grands créateurs.
On retrouve au hasard des circonstances : des nouvelles des amis peintres (Auguste Renoir, Claude Monet, Edgar Degas, Mary Cassatt) ou poètes, en général des habitués du Mardi ou du Jeudi, jour de réception respectivement de Mallarmé et de Morisot ; des comptes-rendus d'expositions ; des notes de voyage et même des invitations à dîner. Mais ce qui fait surtout l'attrait de ces échanges, hormis leur intérêt historique et artistique, c'est l'extraordinaire qualité épistolière de Mallarmé et l'admiration que Morisot lui porta.
Cette correspondance, riche de plus de 100 lettres, ne prendra fin qu'à la mort de Berthe Morisot, le 2 mars 1895. Avant de mourir, elle prit soin de nommer Mallarmé, tuteur de sa fille Julie. Comme sa mère, celle-ci continuera à recevoir tous les Jeudis, peintres et écrivains et à entretenir une correspondance avec Mallarmé
Cette édition entièrement revue et augmentée a été enrichie par de nouvelles illustrations, dont certaines inédites, ainsi que par plusieurs textes, dont l'un de Henri de Régnier sur l'amitié entre Stéphane Mallarmé et Berthe Morisot et un poème sur cette dernière. Commencée en 1876, la correspondance échangée entre Stéphane Mallarmé et Berthe Morisot devint régulière à partir de 1886. A la lecture de ces lettres, on découvre leur intimité ainsi que la profonde et indéfectible amitié qui s'est nouée entre ces deux grands créateurs.
On retrouve au hasard des circonstances : des nouvelles des amis peintres (Auguste Renoir, Claude Monet, Edgar Degas, Mary Cassatt) ou poètes, en général des habitués du Mardi ou du Jeudi, jour de réception respectivement de Mallarmé et de Morisot ; des comptes-rendus d'expositions ; des notes de voyage et même des invitations à dîner. Mais ce qui fait surtout l'attrait de ces échanges, hormis leur intérêt historique et artistique, c'est l'extraordinaire qualité épistolière de Mallarmé et l'admiration que Morisot lui porta.
Cette correspondance, riche de plus de 100 lettres, ne prendra fin qu'à la mort de Berthe Morisot, le 2 mars 1895. Avant de mourir, elle prit soin de nommer Mallarmé, tuteur de sa fille Julie. Comme sa mère, celle-ci continuera à recevoir tous les Jeudis, peintres et écrivains et à entretenir une correspondance avec Mallarmé
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