"Ma Garbeto" et autres oeuvres en gascon du Médoc

Par : Daniel Vivien Michel Bergey

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  • Nombre de pages158
  • PrésentationBroché
  • Poids0.26 kg
  • Dimensions14,8 cm × 21,0 cm × 0,0 cm
  • ISBN978-2-8240-0650-5
  • EAN9782824006505
  • Date de parution20/03/2016
  • ÉditeurEditions des régionalismes

Résumé

Daniel Vivien Michel Bergey, plus connu sous le nom de l’Abbé Bergey, est né à Saint-Trélody, près de Lesparre, en 1881 et mort en 1950 à Saint-Emilion. Ancien aumônier militaire pendant la guerre de 1914-18, député de la Gironde (1924-1932), curé de Saint-Emilion (1911-1950), il a laissé le souvenir d’un homme d’exception, d’un humaniste, d’un orateur infatigable : ses discours et sermons, en français, attiraient les foules.
Cependant, derrière l’homme public se dissimulait un homme plus intime, qui écrivait dans sa langue maternelle, le gascon médocain de Lesparre. Membre de l’Escolo dau Medoc, rattachée au Félibrige, encouragé par d’autres écrivains membres de cette Escolo, l’Abbé Bergey réunit en 1923 l’essentiel de son oeuvre gasconne et la publia dans un recueil intitulé Ma Garbetto (Ma petite Gerbe). C’est ce recueil, augmenté de quelques autres textes éparpillés çà et là, que nous avons choisi de vous présenter ici dans une orthographe modernisée, mais avec la traduction de l’auteur.
Daniel Vivien Michel Bergey, plus connu sous le nom de l’Abbé Bergey, est né à Saint-Trélody, près de Lesparre, en 1881 et mort en 1950 à Saint-Emilion. Ancien aumônier militaire pendant la guerre de 1914-18, député de la Gironde (1924-1932), curé de Saint-Emilion (1911-1950), il a laissé le souvenir d’un homme d’exception, d’un humaniste, d’un orateur infatigable : ses discours et sermons, en français, attiraient les foules.
Cependant, derrière l’homme public se dissimulait un homme plus intime, qui écrivait dans sa langue maternelle, le gascon médocain de Lesparre. Membre de l’Escolo dau Medoc, rattachée au Félibrige, encouragé par d’autres écrivains membres de cette Escolo, l’Abbé Bergey réunit en 1923 l’essentiel de son oeuvre gasconne et la publia dans un recueil intitulé Ma Garbetto (Ma petite Gerbe). C’est ce recueil, augmenté de quelques autres textes éparpillés çà et là, que nous avons choisi de vous présenter ici dans une orthographe modernisée, mais avec la traduction de l’auteur.