Logique du pire, logique d'empire ou la guerre sans fin des Etats-Unis
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- Nombre de pages226
- PrésentationBroché
- Poids0.235 kg
- Dimensions12,0 cm × 21,0 cm × 1,3 cm
- ISBN2-905596-91-0
- EAN9782905596918
- Date de parution01/10/2003
- ÉditeurCénomane (Editions)
Résumé
INVASION DE L'IRAK, guerre en Afghanistan, interventions aux Philippines, dans le Caucase, en Colombie... pourquoi la lutte contre l'" axe du mal " doit-elle être une guerre sans fin ? Au-delà d'une analyse des mensonges du discours,
Logique du pire, logique d'empire replace les conflits en cours dans le contexte de l'histoire idéologique, économique et militaire des États-Unis. Ce faisant, l'ouvrage met en évidence que la présidence de G.W. Bush ne peut être tenue pour un accident de l'histoire. En développant l'idéologie ultra-libérale, moteur de la transformation du capitalisme aujourd'hui, les États-Unis ont créé les conditions d'une
expansion de leur empire, par la maîtrise des flux financiers, énergétiques, informationnels et l'instauration du militaire comme clé de voûte du système. Les auteurs dénoncent là le risque aggravé d'une guerre aux pauvres généralisée, d'une guerre au monde. Car, en réalité, " l'axe du mal, c'est nous ".
INVASION DE L'IRAK, guerre en Afghanistan, interventions aux Philippines, dans le Caucase, en Colombie... pourquoi la lutte contre l'" axe du mal " doit-elle être une guerre sans fin ? Au-delà d'une analyse des mensonges du discours,
Logique du pire, logique d'empire replace les conflits en cours dans le contexte de l'histoire idéologique, économique et militaire des États-Unis. Ce faisant, l'ouvrage met en évidence que la présidence de G.W. Bush ne peut être tenue pour un accident de l'histoire. En développant l'idéologie ultra-libérale, moteur de la transformation du capitalisme aujourd'hui, les États-Unis ont créé les conditions d'une
expansion de leur empire, par la maîtrise des flux financiers, énergétiques, informationnels et l'instauration du militaire comme clé de voûte du système. Les auteurs dénoncent là le risque aggravé d'une guerre aux pauvres généralisée, d'une guerre au monde. Car, en réalité, " l'axe du mal, c'est nous ".