Lettres du bagnard Arthur Roques. Ecrire pour survivre, Guyane 1902-1918
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 27 juin et le 1 juilletCet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 3 à 6 jours après la date de votre commande.
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 27 juin et le 1 juillet
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages350
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids1.92 kg
- Dimensions22,0 cm × 28,0 cm × 3,0 cm
- ISBN978-88-366-4882-5
- EAN9788836648825
- Date de parution23/10/2021
- CollectionHistoires d'outre-mer
- ÉditeurSilvana Editoriale
Résumé
Arthur Roques a été condamné en 1902, à l'âge de 50 ans, aux travaux forcés en Guyane pour fabrication et émission de fausse monnaie. Il mourra à Cayenne en 1920. Les Archives nationales d'outre-mer ont reçu en don un ensemble unique de 178 lettres écrites de sa main à destination principalement de sa famille laissée en France, constituée de deux femmes et de deux petites filles. L'établissement conservait déjà, dans le fonds de l'administration pénitentiaire coloniale, une exceptionnelle correspondance du bagnard Arthur Roques - le matricule 32835 -, adressée aux autorités, administration pénitentiaire, hauts fonctionnaires et personnel politique.
Le très large choix présenté ici nous dit de façon détaillée et émouvante la vie quotidienne du bagnard aux colonies, ses espoirs et ses désespérances, ses combats et ses échecs. Et aussi la sauvegarde de sa dignité.
Le très large choix présenté ici nous dit de façon détaillée et émouvante la vie quotidienne du bagnard aux colonies, ses espoirs et ses désespérances, ses combats et ses échecs. Et aussi la sauvegarde de sa dignité.
Arthur Roques a été condamné en 1902, à l'âge de 50 ans, aux travaux forcés en Guyane pour fabrication et émission de fausse monnaie. Il mourra à Cayenne en 1920. Les Archives nationales d'outre-mer ont reçu en don un ensemble unique de 178 lettres écrites de sa main à destination principalement de sa famille laissée en France, constituée de deux femmes et de deux petites filles. L'établissement conservait déjà, dans le fonds de l'administration pénitentiaire coloniale, une exceptionnelle correspondance du bagnard Arthur Roques - le matricule 32835 -, adressée aux autorités, administration pénitentiaire, hauts fonctionnaires et personnel politique.
Le très large choix présenté ici nous dit de façon détaillée et émouvante la vie quotidienne du bagnard aux colonies, ses espoirs et ses désespérances, ses combats et ses échecs. Et aussi la sauvegarde de sa dignité.
Le très large choix présenté ici nous dit de façon détaillée et émouvante la vie quotidienne du bagnard aux colonies, ses espoirs et ses désespérances, ses combats et ses échecs. Et aussi la sauvegarde de sa dignité.