Lettres de la "der des der"

Par : Catherine Labaume-Howard

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  • Nombre de pages270
  • PrésentationBroché
  • Poids0.32 kg
  • Dimensions14,0 cm × 20,0 cm × 2,0 cm
  • ISBN978-2-916488-43-1
  • EAN9782916488431
  • Date de parution22/03/2011
  • ÉditeurLa Louve
  • PréfacierJean-Pierre Guéno

Résumé

Ces lettres ont été retrouvées presque par hasard en 1986 au fond d’un placard, dans un vieux sac de pommes de terre. Leur auteur, Pierre Suberviolle, engagé volontaire à l’insu de son père dès le 7 août 1914, alors qu’il n’a que 17 ans, écrit à sa famille pendant plus de 51 mois. Mobilisé comme chauffeur mécanicien, il se bat sur le front de l’est et du nord, avant de rejoindre l’armée française d’Orient à Salonique, et de sillonner l’Albanie, la Macédoine et la Grèce.
Rapatrié en France en octobre 1917, il est versé dans les chars d’assaut, et il est blessé au visage près de Dunkerque trois semaines avant l’armistice. De ces années de guerre, nous avons ces lettres, mais aussi des centaines de photos, la plupart inédites car oeuvres de l’auteur lui-même, des cartes postales et aussi divers documents, tel ce curieux avertissement, tout à fait officiel (“Le moustique, voilà l’ennemi !”) dont l’ironie grinçante ne cesse d’interpeller.
Au-delà, ce que Pierre Suberviolle livre ici, de son écriture souvent teintée d’humour malgré les circonstances, c’est la longue “tranche de vie” d’un jeune homme ordinaire dans un monde devenu fou. Mais, comme il l’écrit lui-même, une lettre, c’est d’abord « une communion d’âmes »...
Ces lettres ont été retrouvées presque par hasard en 1986 au fond d’un placard, dans un vieux sac de pommes de terre. Leur auteur, Pierre Suberviolle, engagé volontaire à l’insu de son père dès le 7 août 1914, alors qu’il n’a que 17 ans, écrit à sa famille pendant plus de 51 mois. Mobilisé comme chauffeur mécanicien, il se bat sur le front de l’est et du nord, avant de rejoindre l’armée française d’Orient à Salonique, et de sillonner l’Albanie, la Macédoine et la Grèce.
Rapatrié en France en octobre 1917, il est versé dans les chars d’assaut, et il est blessé au visage près de Dunkerque trois semaines avant l’armistice. De ces années de guerre, nous avons ces lettres, mais aussi des centaines de photos, la plupart inédites car oeuvres de l’auteur lui-même, des cartes postales et aussi divers documents, tel ce curieux avertissement, tout à fait officiel (“Le moustique, voilà l’ennemi !”) dont l’ironie grinçante ne cesse d’interpeller.
Au-delà, ce que Pierre Suberviolle livre ici, de son écriture souvent teintée d’humour malgré les circonstances, c’est la longue “tranche de vie” d’un jeune homme ordinaire dans un monde devenu fou. Mais, comme il l’écrit lui-même, une lettre, c’est d’abord « une communion d’âmes »...