Lettres berlinoises du petit-fils de Diderot à ses parents (1800-1801)
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- Nombre de pages269
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.445 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,5 cm
- ISBN979-10-231-0696-1
- EAN9791023106961
- Date de parution15/04/2021
- CollectionImago mundi
- ÉditeurSorbonne Université Presses
Résumé
Les 127 lettres inédites adressées à ses deux parents. Abel et Angélique Caroillon de Vandeul, née Diderot, fille du philosophe, furent rédigées en Allemagne, et à Berlin pour l'essentiel, par leur fils, secrétaire à l'Ambassade de France en Prusse, entre 1800 et 1801. Diderot devient dans cette correspondance un personnage obsédant et une construction mémorielle qui en détermine largement le contenu.
Reconnu par l'intelligentsia berlinoise, dont les frères Humboldt, Denis-Simon de Vandeul se sent en mission filiale dans cette Allemagne post-frédéricienne : il recueille les échos de ceux qui l'ont connu, comme le Prince Henri, frère de Frédéric II. Soucieuse alors de contrôler la publication parisienne des oeuvres de son père, Mme de Vandeul reçoit à Paris les voyageurs berlinois recommandés par son fils et poursuit avec lui un dialogue sur l'évolution des courants intellectuels contemporains.
Il profite, par ailleurs, de la présence à Berlin de Louis Bonaparte pour l'accompagner à travers l'Allemagne et fournir à son père les informations économiques qui intéressent l'industriel. Cette correspondance familiale suivie témoigne de la curiosité sans vraies limites de son auteur pour un univers qu'il découvre et commente dans une période de conflits européens latents.
Reconnu par l'intelligentsia berlinoise, dont les frères Humboldt, Denis-Simon de Vandeul se sent en mission filiale dans cette Allemagne post-frédéricienne : il recueille les échos de ceux qui l'ont connu, comme le Prince Henri, frère de Frédéric II. Soucieuse alors de contrôler la publication parisienne des oeuvres de son père, Mme de Vandeul reçoit à Paris les voyageurs berlinois recommandés par son fils et poursuit avec lui un dialogue sur l'évolution des courants intellectuels contemporains.
Il profite, par ailleurs, de la présence à Berlin de Louis Bonaparte pour l'accompagner à travers l'Allemagne et fournir à son père les informations économiques qui intéressent l'industriel. Cette correspondance familiale suivie témoigne de la curiosité sans vraies limites de son auteur pour un univers qu'il découvre et commente dans une période de conflits européens latents.
Les 127 lettres inédites adressées à ses deux parents. Abel et Angélique Caroillon de Vandeul, née Diderot, fille du philosophe, furent rédigées en Allemagne, et à Berlin pour l'essentiel, par leur fils, secrétaire à l'Ambassade de France en Prusse, entre 1800 et 1801. Diderot devient dans cette correspondance un personnage obsédant et une construction mémorielle qui en détermine largement le contenu.
Reconnu par l'intelligentsia berlinoise, dont les frères Humboldt, Denis-Simon de Vandeul se sent en mission filiale dans cette Allemagne post-frédéricienne : il recueille les échos de ceux qui l'ont connu, comme le Prince Henri, frère de Frédéric II. Soucieuse alors de contrôler la publication parisienne des oeuvres de son père, Mme de Vandeul reçoit à Paris les voyageurs berlinois recommandés par son fils et poursuit avec lui un dialogue sur l'évolution des courants intellectuels contemporains.
Il profite, par ailleurs, de la présence à Berlin de Louis Bonaparte pour l'accompagner à travers l'Allemagne et fournir à son père les informations économiques qui intéressent l'industriel. Cette correspondance familiale suivie témoigne de la curiosité sans vraies limites de son auteur pour un univers qu'il découvre et commente dans une période de conflits européens latents.
Reconnu par l'intelligentsia berlinoise, dont les frères Humboldt, Denis-Simon de Vandeul se sent en mission filiale dans cette Allemagne post-frédéricienne : il recueille les échos de ceux qui l'ont connu, comme le Prince Henri, frère de Frédéric II. Soucieuse alors de contrôler la publication parisienne des oeuvres de son père, Mme de Vandeul reçoit à Paris les voyageurs berlinois recommandés par son fils et poursuit avec lui un dialogue sur l'évolution des courants intellectuels contemporains.
Il profite, par ailleurs, de la présence à Berlin de Louis Bonaparte pour l'accompagner à travers l'Allemagne et fournir à son père les informations économiques qui intéressent l'industriel. Cette correspondance familiale suivie témoigne de la curiosité sans vraies limites de son auteur pour un univers qu'il découvre et commente dans une période de conflits européens latents.