Les sentiments du voyageur suivi de Anges américains. Chroniques 1934-1954
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- Nombre de pages247
- PrésentationBroché
- Poids0.272 kg
- Dimensions11,7 cm × 18,5 cm × 2,2 cm
- ISBN979-10-91902-29-8
- EAN9791091902298
- Date de parution14/05/2016
- CollectionThéodore Balmoral
- ÉditeurFario (Editions)
- AnnotateurThierry Laget
Résumé
De 1934 à 1954, PIERRE GIRARD publie un millier de chroniques dans les journaux de Suisse. Il y aborde une infinité de sujets - tramways, concerts, parcs. caractère des jours de la semaine, rues et places de Genève, petits métiers, mésaventures de la monarchie britannique -, parlant surtout, comme il le dit, "des fleurs, de la grâce des enfants, des nuances du ciel, de la beauté des femmes". Il y raconte, aussi, ses voyages.
Ce sont les récits de ces excursions que rassemble le présent volume : les étapes de ce périple conduisent leur auteur à Paris, où il fréquente Léon-Paul Fargue, Valery Larbaud ou Jean Giraudoux ; sur la Côte d'Azur où, à la terrasse des cafés, il observe la civilisation des congés payés ; en Italie d'où il envoie des cartes postales d'une Venise "orientale et barbare" et de Naples sous la pluie ; en Allemagne où il observe la montée du nazisme ; aux Etats-Unis où il découvre, en 1935, une démesure à laquelle aucune de ses lectures ne l'avait préparé et qui lui inspire une prose rapide et rythmée.
Ce sont les récits de ces excursions que rassemble le présent volume : les étapes de ce périple conduisent leur auteur à Paris, où il fréquente Léon-Paul Fargue, Valery Larbaud ou Jean Giraudoux ; sur la Côte d'Azur où, à la terrasse des cafés, il observe la civilisation des congés payés ; en Italie d'où il envoie des cartes postales d'une Venise "orientale et barbare" et de Naples sous la pluie ; en Allemagne où il observe la montée du nazisme ; aux Etats-Unis où il découvre, en 1935, une démesure à laquelle aucune de ses lectures ne l'avait préparé et qui lui inspire une prose rapide et rythmée.
De 1934 à 1954, PIERRE GIRARD publie un millier de chroniques dans les journaux de Suisse. Il y aborde une infinité de sujets - tramways, concerts, parcs. caractère des jours de la semaine, rues et places de Genève, petits métiers, mésaventures de la monarchie britannique -, parlant surtout, comme il le dit, "des fleurs, de la grâce des enfants, des nuances du ciel, de la beauté des femmes". Il y raconte, aussi, ses voyages.
Ce sont les récits de ces excursions que rassemble le présent volume : les étapes de ce périple conduisent leur auteur à Paris, où il fréquente Léon-Paul Fargue, Valery Larbaud ou Jean Giraudoux ; sur la Côte d'Azur où, à la terrasse des cafés, il observe la civilisation des congés payés ; en Italie d'où il envoie des cartes postales d'une Venise "orientale et barbare" et de Naples sous la pluie ; en Allemagne où il observe la montée du nazisme ; aux Etats-Unis où il découvre, en 1935, une démesure à laquelle aucune de ses lectures ne l'avait préparé et qui lui inspire une prose rapide et rythmée.
Ce sont les récits de ces excursions que rassemble le présent volume : les étapes de ce périple conduisent leur auteur à Paris, où il fréquente Léon-Paul Fargue, Valery Larbaud ou Jean Giraudoux ; sur la Côte d'Azur où, à la terrasse des cafés, il observe la civilisation des congés payés ; en Italie d'où il envoie des cartes postales d'une Venise "orientale et barbare" et de Naples sous la pluie ; en Allemagne où il observe la montée du nazisme ; aux Etats-Unis où il découvre, en 1935, une démesure à laquelle aucune de ses lectures ne l'avait préparé et qui lui inspire une prose rapide et rythmée.