Les réseaux d'eau courante dans l'antiquité

Par : Catherine Abadie-Reynal, Samuel Provost, Pascal Vipard

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  • Nombre de pages300
  • PrésentationBroché
  • Poids0.762 kg
  • Dimensions21,6 cm × 27,8 cm × 1,7 cm
  • ISBN978-2-7535-1341-9
  • EAN9782753513419
  • Date de parution07/07/2011
  • CollectionArchéologie et culture
  • ÉditeurPU Rennes

Résumé

Les recherches concernant l'hydraulique antique se sont multipliées ces dernières années. Cependant, on ne s'est pas encore beaucoup attaché à tirer pleinement parti de l'observation des cas complexes de structures qui portent traces de réparations ou de modifications. On a donc choisi de placer les structures hydrauliques dans une perspective historique en mettant l'accent sur leur évolution et leurs altérations ou dégradations, causées par des facteurs divers, anthropiques (nouvelles utilisations, erreurs de construction, malversations, détournements de fonction) ou naturels (épisode sismique, nature de l'eau, érosion).
Le processus d'abandon est également étudié, en conjonction avec les structures avoisinantes. Les réseaux d'eau ainsi envisagés dans la longue durée permettent de comprendre la stratégie des villes en matière d'eau et deviennent un élément-clef d'interprétation de l'histoire de structures archéologiques, et plus largement d'un site. Le cadre géographique choisi s'est voulu très large puisqu'il englobe aussi bien des sites français que l'Orient méditerranéen.
De même, l'accent est mis sur l'époque romaine, mais cela n'exclut pas un cadre chronologique plus vaste allant jusqu'à l'Antiquité tardive : des convergences inattendues apparaissent ainsi, qui fournissent les prolégomènes d'une analyse systématique de ces réseaux. Le livre s'organise en deux parties : dans un premier chapitre, les aqueducs, souvent étudiés dans leur aspect monumental, font l'objet de nouvelles recherches qui mettent l'accent sur les péripéties et les complications de leur construction et de leur fonctionnement.
Dans une seconde partie, l'analyse s'attache à des structures plus modestes (canalisations, citernes...), souvent négligées, dont on a essayé de montrer qu'elles pouvaient également fournir des informations uniques sur l'évolution d'un paysage, l'histoire d'une structure ou l'organisation de la politique hydraulique d'une cité.
Les recherches concernant l'hydraulique antique se sont multipliées ces dernières années. Cependant, on ne s'est pas encore beaucoup attaché à tirer pleinement parti de l'observation des cas complexes de structures qui portent traces de réparations ou de modifications. On a donc choisi de placer les structures hydrauliques dans une perspective historique en mettant l'accent sur leur évolution et leurs altérations ou dégradations, causées par des facteurs divers, anthropiques (nouvelles utilisations, erreurs de construction, malversations, détournements de fonction) ou naturels (épisode sismique, nature de l'eau, érosion).
Le processus d'abandon est également étudié, en conjonction avec les structures avoisinantes. Les réseaux d'eau ainsi envisagés dans la longue durée permettent de comprendre la stratégie des villes en matière d'eau et deviennent un élément-clef d'interprétation de l'histoire de structures archéologiques, et plus largement d'un site. Le cadre géographique choisi s'est voulu très large puisqu'il englobe aussi bien des sites français que l'Orient méditerranéen.
De même, l'accent est mis sur l'époque romaine, mais cela n'exclut pas un cadre chronologique plus vaste allant jusqu'à l'Antiquité tardive : des convergences inattendues apparaissent ainsi, qui fournissent les prolégomènes d'une analyse systématique de ces réseaux. Le livre s'organise en deux parties : dans un premier chapitre, les aqueducs, souvent étudiés dans leur aspect monumental, font l'objet de nouvelles recherches qui mettent l'accent sur les péripéties et les complications de leur construction et de leur fonctionnement.
Dans une seconde partie, l'analyse s'attache à des structures plus modestes (canalisations, citernes...), souvent négligées, dont on a essayé de montrer qu'elles pouvaient également fournir des informations uniques sur l'évolution d'un paysage, l'histoire d'une structure ou l'organisation de la politique hydraulique d'une cité.