Les muscinées du XVIe au XIXe siècle. Dans les collections de la Bibliothèque universitaire Moretus Plantin

Par : Jean-Louis De Sloover, Anne-Marie Bogaert-Damin
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  • Nombre de pages258
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.98 kg
  • Dimensions19,0 cm × 26,0 cm × 1,8 cm
  • ISBN2-87037-270-1
  • EAN9782870372708
  • Date de parution16/07/2002
  • CollectionBibliothèque Moretus Plantin
  • ÉditeurPU Namur
  • PréfacierRené Noël

Résumé

Les herbiers de la Renaissance montrent de grandes hépatiques à thalle comme Marchanda polymorpha ou des mousses caractéristiques comme des Polytrichum. En fait, avant l'usage du microscope composé, aucune étude détaillée des muscinées n'est possible. A la fin du dix-huitième et du dix-neuvième siècle, grâce aux loupes et aux microscope, les descriptions sont fouillées et les illustrations parfaitement identifiables.
La gravure en taille-douce remplace les bois gravés et permet une plus grande finesse dans le rendu de détails et donc une précision indispensable pour l'illustration des muscinées. Au neuvième siècle, la lithographie concurrence puis remplace la gravure sur métal. Le coloris, porté à la main sur les planches, permet une meilleure approche encore. Au vingtième siècle, le nombre des publications s'accroît sans cesse mais ces dernières sont bien plus brèves.
Les dessins, fort technique et détaillés, ne sont pratiquement jamais en couleur.
Les herbiers de la Renaissance montrent de grandes hépatiques à thalle comme Marchanda polymorpha ou des mousses caractéristiques comme des Polytrichum. En fait, avant l'usage du microscope composé, aucune étude détaillée des muscinées n'est possible. A la fin du dix-huitième et du dix-neuvième siècle, grâce aux loupes et aux microscope, les descriptions sont fouillées et les illustrations parfaitement identifiables.
La gravure en taille-douce remplace les bois gravés et permet une plus grande finesse dans le rendu de détails et donc une précision indispensable pour l'illustration des muscinées. Au neuvième siècle, la lithographie concurrence puis remplace la gravure sur métal. Le coloris, porté à la main sur les planches, permet une meilleure approche encore. Au vingtième siècle, le nombre des publications s'accroît sans cesse mais ces dernières sont bien plus brèves.
Les dessins, fort technique et détaillés, ne sont pratiquement jamais en couleur.