Les femmes du coin de la rue. Corps à corps avec la précarité
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- Nombre de pages174
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.27 kg
- Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 1,0 cm
- ISBN979-10-399-0191-8
- EAN9791039901918
- Date de parution15/02/2024
- CollectionQuestions féministes
- ÉditeurSyllepse (Editions)
- PréfacierColine Cardi
- PostfacierJean-François Laé
Résumé
Le livre donne à voir la vie quotidienne, les épreuves permanentes, l'art de la débrouille ainsi que les détresses de ces femmes femmes confrontées à des situation de violence. Le livre privilégie les problématiques de genre et de développement des vulnérabilités accentuées par les différents épisodes de la pandémie en inscrivant les récits recueillis dans le contexte historique et social de la transformation des quartiers populaires.
Il interroge la place des femmes dans l'espace public. A la recherche de lieux et de relations privilégiées qui les aident à se maintenir en vie. Pour certaines, ce sera une boutique bric-à-brac, pour d'autres les couloirs du métro, le hall d'une gare, une camionnette ou un banc. L'ouvrage met également une focale particulière sur la place du corps qui joue pour ces femmes un rôle charnière, tant sur le plan de la visibilité (manières d'apparaître et de disparaître), des techniques de survie que sur celui de leur humanité où se croisent en permanence souffrances et petits plaisirs.
Ces "femmes du coin de la rue" , ce sont nos voisines, que nous croisons, parfois sans les voir, en bas de chez nous, dans le métro, à la fin des marchés. Si certaines sont destinataires d'interventions et d'aides (associations, travailleurs sociaux...), la plupart se tiennent à distance ou ne les rencontrent que très occasionnellement, souvent par peur des logiques de contrôle et d'encadrement ; ce sont surtout ces dernières que l'autrice a rencontrées.
Elles constituent un prisme d'appréhension de la condition des femmes précarisées dans les villes d'aujourd'hui. S'en rapprocher, les considérer, les écouter peut permettre d'inverser les spirales dans lesquelles elles sont prises.
Il interroge la place des femmes dans l'espace public. A la recherche de lieux et de relations privilégiées qui les aident à se maintenir en vie. Pour certaines, ce sera une boutique bric-à-brac, pour d'autres les couloirs du métro, le hall d'une gare, une camionnette ou un banc. L'ouvrage met également une focale particulière sur la place du corps qui joue pour ces femmes un rôle charnière, tant sur le plan de la visibilité (manières d'apparaître et de disparaître), des techniques de survie que sur celui de leur humanité où se croisent en permanence souffrances et petits plaisirs.
Ces "femmes du coin de la rue" , ce sont nos voisines, que nous croisons, parfois sans les voir, en bas de chez nous, dans le métro, à la fin des marchés. Si certaines sont destinataires d'interventions et d'aides (associations, travailleurs sociaux...), la plupart se tiennent à distance ou ne les rencontrent que très occasionnellement, souvent par peur des logiques de contrôle et d'encadrement ; ce sont surtout ces dernières que l'autrice a rencontrées.
Elles constituent un prisme d'appréhension de la condition des femmes précarisées dans les villes d'aujourd'hui. S'en rapprocher, les considérer, les écouter peut permettre d'inverser les spirales dans lesquelles elles sont prises.
Le livre donne à voir la vie quotidienne, les épreuves permanentes, l'art de la débrouille ainsi que les détresses de ces femmes femmes confrontées à des situation de violence. Le livre privilégie les problématiques de genre et de développement des vulnérabilités accentuées par les différents épisodes de la pandémie en inscrivant les récits recueillis dans le contexte historique et social de la transformation des quartiers populaires.
Il interroge la place des femmes dans l'espace public. A la recherche de lieux et de relations privilégiées qui les aident à se maintenir en vie. Pour certaines, ce sera une boutique bric-à-brac, pour d'autres les couloirs du métro, le hall d'une gare, une camionnette ou un banc. L'ouvrage met également une focale particulière sur la place du corps qui joue pour ces femmes un rôle charnière, tant sur le plan de la visibilité (manières d'apparaître et de disparaître), des techniques de survie que sur celui de leur humanité où se croisent en permanence souffrances et petits plaisirs.
Ces "femmes du coin de la rue" , ce sont nos voisines, que nous croisons, parfois sans les voir, en bas de chez nous, dans le métro, à la fin des marchés. Si certaines sont destinataires d'interventions et d'aides (associations, travailleurs sociaux...), la plupart se tiennent à distance ou ne les rencontrent que très occasionnellement, souvent par peur des logiques de contrôle et d'encadrement ; ce sont surtout ces dernières que l'autrice a rencontrées.
Elles constituent un prisme d'appréhension de la condition des femmes précarisées dans les villes d'aujourd'hui. S'en rapprocher, les considérer, les écouter peut permettre d'inverser les spirales dans lesquelles elles sont prises.
Il interroge la place des femmes dans l'espace public. A la recherche de lieux et de relations privilégiées qui les aident à se maintenir en vie. Pour certaines, ce sera une boutique bric-à-brac, pour d'autres les couloirs du métro, le hall d'une gare, une camionnette ou un banc. L'ouvrage met également une focale particulière sur la place du corps qui joue pour ces femmes un rôle charnière, tant sur le plan de la visibilité (manières d'apparaître et de disparaître), des techniques de survie que sur celui de leur humanité où se croisent en permanence souffrances et petits plaisirs.
Ces "femmes du coin de la rue" , ce sont nos voisines, que nous croisons, parfois sans les voir, en bas de chez nous, dans le métro, à la fin des marchés. Si certaines sont destinataires d'interventions et d'aides (associations, travailleurs sociaux...), la plupart se tiennent à distance ou ne les rencontrent que très occasionnellement, souvent par peur des logiques de contrôle et d'encadrement ; ce sont surtout ces dernières que l'autrice a rencontrées.
Elles constituent un prisme d'appréhension de la condition des femmes précarisées dans les villes d'aujourd'hui. S'en rapprocher, les considérer, les écouter peut permettre d'inverser les spirales dans lesquelles elles sont prises.