Les droits des femmes et la loi salique. La femme et la loi Salique ; Comme il est bon que le royaume aille par succession masculine ; De la loi Salique première des Français, et fondamentale du Royaume de France

Par : Sarah Hanley

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  • Nombre de pages126
  • PrésentationBroché
  • Poids0.185 kg
  • Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 0,1 cm
  • ISBN978-2-907883-78-8
  • EAN9782907883788
  • Date de parution01/03/2014
  • CollectionDes femmes dans l'histoire
  • ÉditeurIndigo & Côté-femmes

Résumé

De La Reine Margot aux Rois maudits en passant par Les Pardaillan, ce ne sont pas les figures féminines exceptionnelles qui manquent dans la littérature populaire française au XIXe et au XXe siècle. Et on ne compte plus aujourd'hui les films historiques et les séries télévisées retraçant les complots et les fastes de la monarchie. Les femmes apparaissent comme des intrigantes, des empoisonneuses, des nymphomanes, des créatures diaboliquement rusées qui manipulent les rois comme les marchands, les valets comme les comtes et les ducs.
Si les mythes sur l'omnipotence féminine abondent dans la tradition populaire, ils ne peuvent dissimuler la situation réelle des femmes françaises. Leur infériorité juridique fut codifiée dans la loi salique, loi édictée sous les rois francs (du Ve au IXe siècle) ; elle a persisté, sous différentes formes dans les textes de lois qui ont régi le statut des femmes au cours des siècles suivants et elle s'est prolongée jusque dans les années 70 de ce siècle.
Les trois textes que nous publions ici montrent de façon contradictoire comment la question du statut juridique des femmes a été abordée à différentes périodes.
De La Reine Margot aux Rois maudits en passant par Les Pardaillan, ce ne sont pas les figures féminines exceptionnelles qui manquent dans la littérature populaire française au XIXe et au XXe siècle. Et on ne compte plus aujourd'hui les films historiques et les séries télévisées retraçant les complots et les fastes de la monarchie. Les femmes apparaissent comme des intrigantes, des empoisonneuses, des nymphomanes, des créatures diaboliquement rusées qui manipulent les rois comme les marchands, les valets comme les comtes et les ducs.
Si les mythes sur l'omnipotence féminine abondent dans la tradition populaire, ils ne peuvent dissimuler la situation réelle des femmes françaises. Leur infériorité juridique fut codifiée dans la loi salique, loi édictée sous les rois francs (du Ve au IXe siècle) ; elle a persisté, sous différentes formes dans les textes de lois qui ont régi le statut des femmes au cours des siècles suivants et elle s'est prolongée jusque dans les années 70 de ce siècle.
Les trois textes que nous publions ici montrent de façon contradictoire comment la question du statut juridique des femmes a été abordée à différentes périodes.