Les derniers forçats. Du bagne à l'asile
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- Nombre de pages178
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.175 kg
- Dimensions12,5 cm × 18,5 cm × 1,4 cm
- ISBN979-10-91013-03-1
- EAN9791091013031
- Date de parution13/03/2014
- ÉditeurAlbache
- PréfacierJean-Lucien Sanchez
Résumé
C'est le bagne, celui des illégitimes qui d'habitude ne témoignent pas, que la lecture de ce livre dévoile. Ces témoignages de bagnards ne sont pas des pamphlets politiques, des manifestes contre l'injustice sociale ou contre l'univers carcéral. Leurs auteurs, Marty et Martinez, ne sont pas anarchistes, n'ont pas lu Proudhon ou Hegel. Et pourtant, c'est leur conscience de classe qui les pousse à écrire.
Ni réfléchis, ni structurés, ces récits instinctifs sont nés de la plume de deux bagnards, de ces rares anonymes qui ont écrit sans pourtant avoir défié la chronique lors de leurs procès; des milliers qui, meurtriers ou petits voleurs, finissent par mourir dans l'indifférence. C'est du bagne, celui de la pègre et des assassins dont ces écrits sont les témoins. Ils révèlent cette histoire que l'on tait, ces hommes que l'on oublie, ces parias que l'on exile pour mieux se convaincre qu'ils ne sont pas les produits d'une société inégalitaire et répressive.
Dans ces pages sont libérés les écrits, jusque-là inédits, des inconnus du bagne.
Ni réfléchis, ni structurés, ces récits instinctifs sont nés de la plume de deux bagnards, de ces rares anonymes qui ont écrit sans pourtant avoir défié la chronique lors de leurs procès; des milliers qui, meurtriers ou petits voleurs, finissent par mourir dans l'indifférence. C'est du bagne, celui de la pègre et des assassins dont ces écrits sont les témoins. Ils révèlent cette histoire que l'on tait, ces hommes que l'on oublie, ces parias que l'on exile pour mieux se convaincre qu'ils ne sont pas les produits d'une société inégalitaire et répressive.
Dans ces pages sont libérés les écrits, jusque-là inédits, des inconnus du bagne.
C'est le bagne, celui des illégitimes qui d'habitude ne témoignent pas, que la lecture de ce livre dévoile. Ces témoignages de bagnards ne sont pas des pamphlets politiques, des manifestes contre l'injustice sociale ou contre l'univers carcéral. Leurs auteurs, Marty et Martinez, ne sont pas anarchistes, n'ont pas lu Proudhon ou Hegel. Et pourtant, c'est leur conscience de classe qui les pousse à écrire.
Ni réfléchis, ni structurés, ces récits instinctifs sont nés de la plume de deux bagnards, de ces rares anonymes qui ont écrit sans pourtant avoir défié la chronique lors de leurs procès; des milliers qui, meurtriers ou petits voleurs, finissent par mourir dans l'indifférence. C'est du bagne, celui de la pègre et des assassins dont ces écrits sont les témoins. Ils révèlent cette histoire que l'on tait, ces hommes que l'on oublie, ces parias que l'on exile pour mieux se convaincre qu'ils ne sont pas les produits d'une société inégalitaire et répressive.
Dans ces pages sont libérés les écrits, jusque-là inédits, des inconnus du bagne.
Ni réfléchis, ni structurés, ces récits instinctifs sont nés de la plume de deux bagnards, de ces rares anonymes qui ont écrit sans pourtant avoir défié la chronique lors de leurs procès; des milliers qui, meurtriers ou petits voleurs, finissent par mourir dans l'indifférence. C'est du bagne, celui de la pègre et des assassins dont ces écrits sont les témoins. Ils révèlent cette histoire que l'on tait, ces hommes que l'on oublie, ces parias que l'on exile pour mieux se convaincre qu'ils ne sont pas les produits d'une société inégalitaire et répressive.
Dans ces pages sont libérés les écrits, jusque-là inédits, des inconnus du bagne.