Les cygnes du Kremlin. Ballet et pouvoir en Russie soviétique
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- Nombre de pages315
- PrésentationBroché
- Poids0.613 kg
- Dimensions15,5 cm × 23,5 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-36677-058-2
- EAN9782366770582
- Date de parution01/01/2017
- CollectionDanse classique
- ÉditeurGremese
- TraducteurMarianne Loedel
Résumé
En Russie, durant l'époque tsariste, le ballet classique était peut-être le symbole le plus évident de la culture aristocratique. Il disparut par la suite, avec les autres arts, dans le sillage de la Révolution d'octobre, sous le régime soviétique, qui voulut conformer le ballet impérial à ses objectifs de révolution culturelle et de rééducation du peuple. Pourtant, comme le montre l'essai de Christina Ezrahi, l'ambitieuse tentative des autorités demeura vaine.
Les Cygnes du Kremlin offre une captivante vue d'ensemble du conflit qui opposa la politique à l'art choreutique, pendant les cinquante premières années de l'ère soviétique, sujet pour ainsi dire occulté dans l'historiographie de la danse. L'auteure révèle comment les directeurs et les artistes des deux plus grandes compagnies de ballets russes - celle du Théâtre Mariinslry de Saint-Pétersbourg et celle du Théâtre Bolchoi de Moscou - résistèrent courtoisement mais avec fermeté à l'hégémonie culturelle soviétique de ces années-là.
Malgré les contrôles auxquels ils étaient soumis, ils parvinrent à préserver les formes originelles et les traditions de leur glorieux passé artistique, en leur conférant même une vitalité accrue. Ces modèles esthétiques et techniques insufflèrent une énergie nouvelle au ballet russe, qui devint le fleuron des conquêtes culturelles soviétiques et éblouit le public occidental, même pendant les années difficiles de la Guerre Froide.
Ce livre est le résultat de recherches menées dans des dizaines d'archives et de synthèses de nombreuses interviews d'artistes, de dirigeants et de personnages de premier plan de l'époque. L'ouvrage de Christina Ezrahi propose aux lecteurs le premier bilan éclairant de ce qu'il advint des ballets russes pendant la période soviétique, en suivant pas à pas leurs luttes pendant l'ère post-révolutionnaire, en documentant l'apogée de leur splendeur - l'" âge d'or " des années cinquante et soixante - et en reconstituant les productions monumentales mises en scène pour célébrer, en 1968, le cinquantième anniversaire de la Révolution.
Les Cygnes du Kremlin offre une captivante vue d'ensemble du conflit qui opposa la politique à l'art choreutique, pendant les cinquante premières années de l'ère soviétique, sujet pour ainsi dire occulté dans l'historiographie de la danse. L'auteure révèle comment les directeurs et les artistes des deux plus grandes compagnies de ballets russes - celle du Théâtre Mariinslry de Saint-Pétersbourg et celle du Théâtre Bolchoi de Moscou - résistèrent courtoisement mais avec fermeté à l'hégémonie culturelle soviétique de ces années-là.
Malgré les contrôles auxquels ils étaient soumis, ils parvinrent à préserver les formes originelles et les traditions de leur glorieux passé artistique, en leur conférant même une vitalité accrue. Ces modèles esthétiques et techniques insufflèrent une énergie nouvelle au ballet russe, qui devint le fleuron des conquêtes culturelles soviétiques et éblouit le public occidental, même pendant les années difficiles de la Guerre Froide.
Ce livre est le résultat de recherches menées dans des dizaines d'archives et de synthèses de nombreuses interviews d'artistes, de dirigeants et de personnages de premier plan de l'époque. L'ouvrage de Christina Ezrahi propose aux lecteurs le premier bilan éclairant de ce qu'il advint des ballets russes pendant la période soviétique, en suivant pas à pas leurs luttes pendant l'ère post-révolutionnaire, en documentant l'apogée de leur splendeur - l'" âge d'or " des années cinquante et soixante - et en reconstituant les productions monumentales mises en scène pour célébrer, en 1968, le cinquantième anniversaire de la Révolution.
En Russie, durant l'époque tsariste, le ballet classique était peut-être le symbole le plus évident de la culture aristocratique. Il disparut par la suite, avec les autres arts, dans le sillage de la Révolution d'octobre, sous le régime soviétique, qui voulut conformer le ballet impérial à ses objectifs de révolution culturelle et de rééducation du peuple. Pourtant, comme le montre l'essai de Christina Ezrahi, l'ambitieuse tentative des autorités demeura vaine.
Les Cygnes du Kremlin offre une captivante vue d'ensemble du conflit qui opposa la politique à l'art choreutique, pendant les cinquante premières années de l'ère soviétique, sujet pour ainsi dire occulté dans l'historiographie de la danse. L'auteure révèle comment les directeurs et les artistes des deux plus grandes compagnies de ballets russes - celle du Théâtre Mariinslry de Saint-Pétersbourg et celle du Théâtre Bolchoi de Moscou - résistèrent courtoisement mais avec fermeté à l'hégémonie culturelle soviétique de ces années-là.
Malgré les contrôles auxquels ils étaient soumis, ils parvinrent à préserver les formes originelles et les traditions de leur glorieux passé artistique, en leur conférant même une vitalité accrue. Ces modèles esthétiques et techniques insufflèrent une énergie nouvelle au ballet russe, qui devint le fleuron des conquêtes culturelles soviétiques et éblouit le public occidental, même pendant les années difficiles de la Guerre Froide.
Ce livre est le résultat de recherches menées dans des dizaines d'archives et de synthèses de nombreuses interviews d'artistes, de dirigeants et de personnages de premier plan de l'époque. L'ouvrage de Christina Ezrahi propose aux lecteurs le premier bilan éclairant de ce qu'il advint des ballets russes pendant la période soviétique, en suivant pas à pas leurs luttes pendant l'ère post-révolutionnaire, en documentant l'apogée de leur splendeur - l'" âge d'or " des années cinquante et soixante - et en reconstituant les productions monumentales mises en scène pour célébrer, en 1968, le cinquantième anniversaire de la Révolution.
Les Cygnes du Kremlin offre une captivante vue d'ensemble du conflit qui opposa la politique à l'art choreutique, pendant les cinquante premières années de l'ère soviétique, sujet pour ainsi dire occulté dans l'historiographie de la danse. L'auteure révèle comment les directeurs et les artistes des deux plus grandes compagnies de ballets russes - celle du Théâtre Mariinslry de Saint-Pétersbourg et celle du Théâtre Bolchoi de Moscou - résistèrent courtoisement mais avec fermeté à l'hégémonie culturelle soviétique de ces années-là.
Malgré les contrôles auxquels ils étaient soumis, ils parvinrent à préserver les formes originelles et les traditions de leur glorieux passé artistique, en leur conférant même une vitalité accrue. Ces modèles esthétiques et techniques insufflèrent une énergie nouvelle au ballet russe, qui devint le fleuron des conquêtes culturelles soviétiques et éblouit le public occidental, même pendant les années difficiles de la Guerre Froide.
Ce livre est le résultat de recherches menées dans des dizaines d'archives et de synthèses de nombreuses interviews d'artistes, de dirigeants et de personnages de premier plan de l'époque. L'ouvrage de Christina Ezrahi propose aux lecteurs le premier bilan éclairant de ce qu'il advint des ballets russes pendant la période soviétique, en suivant pas à pas leurs luttes pendant l'ère post-révolutionnaire, en documentant l'apogée de leur splendeur - l'" âge d'or " des années cinquante et soixante - et en reconstituant les productions monumentales mises en scène pour célébrer, en 1968, le cinquantième anniversaire de la Révolution.