Les catéchèses baptismales de saint Cyrille de Jérusalem

Par : Michel Corbin

Formats :

Actuellement indisponible
Cet article est actuellement indisponible, il ne peut pas être commandé sur notre site pour le moment. Nous vous invitons à vous inscrire à l'alerte disponibilité, vous recevrez un e-mail dès que cet ouvrage sera à nouveau disponible.
  • Nombre de pages408
  • PrésentationBroché
  • Poids0.512 kg
  • Dimensions14,6 cm × 20,5 cm × 2,7 cm
  • ISBN978-2-87299-209-6
  • EAN9782872992096
  • Date de parution04/11/2011
  • CollectionDonner raison
  • ÉditeurLessius éditions

Résumé

Les dix-huit catéchèses " baptismales ", commentées ici par Michel Corbin, ont été prononcées par Cyrille de Jérusalem sans doute durant le Carême de l'an 350, un quart de siècle après le premier concile oecuménique de Nicée. Elles seules nous restituent, dans un ensemble organisé, l'enseignement que les évêques nicéens dispensaient à ceux et celles qui se préparaient au baptême. Tous ceux qui les connaissent admirent leur saveur unique, toute de spontanéité dans l'exposition des articles de la foi, de fraîcheur dans l'expression, de décision de ne rien dire qui aille au-delà des Ecritures, de chaleur dans l'exhortation à " rendre grâce et gloire à Dieu comme Dieu [toujours plus grand]" (Rm 1,21).
De là découle une volonté de ne jamais dissocier ce que les Pères appellent " théologie ", contemplation du mystère de Dieu, et ce qu'ils nomment " économie ", recueil de la surabondance de grâce éclose à la Pâque de Jésus.
Les dix-huit catéchèses " baptismales ", commentées ici par Michel Corbin, ont été prononcées par Cyrille de Jérusalem sans doute durant le Carême de l'an 350, un quart de siècle après le premier concile oecuménique de Nicée. Elles seules nous restituent, dans un ensemble organisé, l'enseignement que les évêques nicéens dispensaient à ceux et celles qui se préparaient au baptême. Tous ceux qui les connaissent admirent leur saveur unique, toute de spontanéité dans l'exposition des articles de la foi, de fraîcheur dans l'expression, de décision de ne rien dire qui aille au-delà des Ecritures, de chaleur dans l'exhortation à " rendre grâce et gloire à Dieu comme Dieu [toujours plus grand]" (Rm 1,21).
De là découle une volonté de ne jamais dissocier ce que les Pères appellent " théologie ", contemplation du mystère de Dieu, et ce qu'ils nomment " économie ", recueil de la surabondance de grâce éclose à la Pâque de Jésus.
L'inouï de Dieu
Michel Corbin
Grand Format
42,00 €