Les lecteurs d'Armen, du Guet, de Fort-Cigogne ne s'étonneront pas de retrouver ici l'attention fervente portée au paysage, la présence constante de la mer et des rythmes qu'elle impose qui sont la marque de Jean-Pierre Abraham. Mais ils s'étonneront peut-être d'apprendre qu'il a écrit Le Vent en 1955 : il avait dix-neuf ans...
Les lecteurs d'Armen, du Guet, de Fort-Cigogne ne s'étonneront pas de retrouver ici l'attention fervente portée au paysage, la présence constante de la mer et des rythmes qu'elle impose qui sont la marque de Jean-Pierre Abraham. Mais ils s'étonneront peut-être d'apprendre qu'il a écrit Le Vent en 1955 : il avait dix-neuf ans...