Le Théâtre de Charles-Simon Favart. Histoire et inventaire des manuscrits
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- PrésentationRelié
- Poids0.47 kg
- Dimensions15,5 cm × 23,5 cm × 0,0 cm
- ISBN978-2-7453-2006-3
- EAN9782745320063
- Date de parution01/10/2010
- CollectionLes dix-huitièmes siècles
- ÉditeurHonoré Champion
Résumé
Charles-Simon Favart fut un représentant de l’histoire des théâtres parisiens au XVIIIe siècle et, en particulier, de la Foire et de la Comédie-Italienne. A la fin de son « premier essai de jeunesse », il nota ces mots : « bon à jeter au feu ». Cette affirmation fut répétée plusieurs fois dans d’autres de ses manuscrits ; était-elle symptomatique du peu d’importance que l’auteur attachait au texte écrit, ou bien, cachait-elle autre chose ? Les pages de ce livre permettent de mettre en lumière, d’après dépouillement et catalogage d’archives, que le dramaturge considéra l’écriture théâtrale comme un travail de « recyclage » et de remaniement.
Il ne jeta pas ses manuscrits au feu, au contraire, il les conserva pour les réutiliser, et ceux-ci constituèrent la matière première de son travail, comme un « bon magasin de choses faites ». Pour l’auteur, l’écriture était un métier à tisser permanent dont la base était savamment conservée. Il s’agissait d’une technique se rapprochant du pastiche, dans l’acception d’une imitation volontaire, menant à la variation sur thème.
Les manuscrits de Favart demeurent un instrument essentiel à la compréhension de l’esthétique de l’auteur et de l’évolution de la dramaturgie française au siècle des Lumières.
Il ne jeta pas ses manuscrits au feu, au contraire, il les conserva pour les réutiliser, et ceux-ci constituèrent la matière première de son travail, comme un « bon magasin de choses faites ». Pour l’auteur, l’écriture était un métier à tisser permanent dont la base était savamment conservée. Il s’agissait d’une technique se rapprochant du pastiche, dans l’acception d’une imitation volontaire, menant à la variation sur thème.
Les manuscrits de Favart demeurent un instrument essentiel à la compréhension de l’esthétique de l’auteur et de l’évolution de la dramaturgie française au siècle des Lumières.
Charles-Simon Favart fut un représentant de l’histoire des théâtres parisiens au XVIIIe siècle et, en particulier, de la Foire et de la Comédie-Italienne. A la fin de son « premier essai de jeunesse », il nota ces mots : « bon à jeter au feu ». Cette affirmation fut répétée plusieurs fois dans d’autres de ses manuscrits ; était-elle symptomatique du peu d’importance que l’auteur attachait au texte écrit, ou bien, cachait-elle autre chose ? Les pages de ce livre permettent de mettre en lumière, d’après dépouillement et catalogage d’archives, que le dramaturge considéra l’écriture théâtrale comme un travail de « recyclage » et de remaniement.
Il ne jeta pas ses manuscrits au feu, au contraire, il les conserva pour les réutiliser, et ceux-ci constituèrent la matière première de son travail, comme un « bon magasin de choses faites ». Pour l’auteur, l’écriture était un métier à tisser permanent dont la base était savamment conservée. Il s’agissait d’une technique se rapprochant du pastiche, dans l’acception d’une imitation volontaire, menant à la variation sur thème.
Les manuscrits de Favart demeurent un instrument essentiel à la compréhension de l’esthétique de l’auteur et de l’évolution de la dramaturgie française au siècle des Lumières.
Il ne jeta pas ses manuscrits au feu, au contraire, il les conserva pour les réutiliser, et ceux-ci constituèrent la matière première de son travail, comme un « bon magasin de choses faites ». Pour l’auteur, l’écriture était un métier à tisser permanent dont la base était savamment conservée. Il s’agissait d’une technique se rapprochant du pastiche, dans l’acception d’une imitation volontaire, menant à la variation sur thème.
Les manuscrits de Favart demeurent un instrument essentiel à la compréhension de l’esthétique de l’auteur et de l’évolution de la dramaturgie française au siècle des Lumières.