Le siècle d'or de la peinture danoise. Une collection française
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- Nombre de pages215
- PrésentationBroché
- Poids1.008 kg
- Dimensions20,2 cm × 26,0 cm × 1,9 cm
- ISBN978-2-07-014288-0
- EAN9782070142880
- Date de parution24/10/2013
- ÉditeurGallimard
- PréfacierBruno Gaudichon
- PréfacierAnnette Haudiquet
Résumé
Depuis une trentaine d'années, on assiste à la découverte d'un art méconnu, que l'on a longtemps appelé "l'âge d'or de la peinture danoise". L'école de peinture de Copenhague attira dès le début du siècle tous les peintres du nord jusqu'à Friedrich et développa un style qui lui est propre sous l'impulsion des premières générations qui firent le voyage d'Italie. Une lumière particulière, une apparente simplicité dans les portraits et un goût du paysage, reflétant le climat et le relief de ce pays plat pénétré de tous côtés par la mer en sont des caractéristiques majeures.
Après les guerres et les pertes de territoires, la Norvège en 1814, le Schleswig et le Holstein en 1864, l'art danois voulut délaisser les exemples étrangers pour se focaliser sur un art national et sur son propre paysage, jusqu'à la fin du XIX ? siècle. Un collectionneur français a réuni en quelques années plus de deux cents peintures par la plupart des artistes de l'époque, dans un univers au charme discret et envoûtant, où la mer et la campagne sont indissociables et où les animaux ont leurs portraits comme les humains.
Après les guerres et les pertes de territoires, la Norvège en 1814, le Schleswig et le Holstein en 1864, l'art danois voulut délaisser les exemples étrangers pour se focaliser sur un art national et sur son propre paysage, jusqu'à la fin du XIX ? siècle. Un collectionneur français a réuni en quelques années plus de deux cents peintures par la plupart des artistes de l'époque, dans un univers au charme discret et envoûtant, où la mer et la campagne sont indissociables et où les animaux ont leurs portraits comme les humains.
Depuis une trentaine d'années, on assiste à la découverte d'un art méconnu, que l'on a longtemps appelé "l'âge d'or de la peinture danoise". L'école de peinture de Copenhague attira dès le début du siècle tous les peintres du nord jusqu'à Friedrich et développa un style qui lui est propre sous l'impulsion des premières générations qui firent le voyage d'Italie. Une lumière particulière, une apparente simplicité dans les portraits et un goût du paysage, reflétant le climat et le relief de ce pays plat pénétré de tous côtés par la mer en sont des caractéristiques majeures.
Après les guerres et les pertes de territoires, la Norvège en 1814, le Schleswig et le Holstein en 1864, l'art danois voulut délaisser les exemples étrangers pour se focaliser sur un art national et sur son propre paysage, jusqu'à la fin du XIX ? siècle. Un collectionneur français a réuni en quelques années plus de deux cents peintures par la plupart des artistes de l'époque, dans un univers au charme discret et envoûtant, où la mer et la campagne sont indissociables et où les animaux ont leurs portraits comme les humains.
Après les guerres et les pertes de territoires, la Norvège en 1814, le Schleswig et le Holstein en 1864, l'art danois voulut délaisser les exemples étrangers pour se focaliser sur un art national et sur son propre paysage, jusqu'à la fin du XIX ? siècle. Un collectionneur français a réuni en quelques années plus de deux cents peintures par la plupart des artistes de l'époque, dans un univers au charme discret et envoûtant, où la mer et la campagne sont indissociables et où les animaux ont leurs portraits comme les humains.