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- Nombre de pages120
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.105 kg
- Dimensions11,0 cm × 17,0 cm × 0,9 cm
- ISBN978-2-8097-0181-4
- EAN9782809701814
- Date de parution20/04/2010
- CollectionPicquier poche
- ÉditeurPhilippe Picquier
- TraducteurMarie-Noëlle Ouvray
Résumé
Le Jour de la Gratitude au Travail réunit deux récits, mordants et drôles, sur le monde du travail, vu du côté féminin, au Japon. " Quel est votre but dans la vie ? " a-t-on demandé à Kyôko lors de son premier entretien d'embauche. " Vivre vieille ", a-t-elle répondu. Après avoir été virée pour avoir molesté son patron. la voilà qui accepte de rencontrer un homme infatué de lui-même et de la taille... de son entreprise. Dans le second récit, l'amitié qui unit la jeune Oikawa à son collègue de travail Futo est de nature assez spéciale. On a beau savoir que les liens qui se nouent au travail sont parfois très puissants, il est rare que le fantôme de votre collègue vous apparaisse, pris de hoquet, devant son appartement. Serait-ce parce qu'ils partagent un secret ? Ce secret que chacun de nous abrite, peut-être sans importance, mais que personne ne doit connaître. L'art d'Itoyama Akiko, c'est de savoir, dans le tableau d'ensemble, repérer le détail qui, soudain, bouleverse la perspective. Ses deux récits colorent la banale réalité du travail de la touche de l'imprévisible ; alors l'être humain révèle son excentricité cachée, et la lutte pour le pain quotidien, son ironique vacuité.
Le Jour de la Gratitude au Travail réunit deux récits, mordants et drôles, sur le monde du travail, vu du côté féminin, au Japon. " Quel est votre but dans la vie ? " a-t-on demandé à Kyôko lors de son premier entretien d'embauche. " Vivre vieille ", a-t-elle répondu. Après avoir été virée pour avoir molesté son patron. la voilà qui accepte de rencontrer un homme infatué de lui-même et de la taille... de son entreprise. Dans le second récit, l'amitié qui unit la jeune Oikawa à son collègue de travail Futo est de nature assez spéciale. On a beau savoir que les liens qui se nouent au travail sont parfois très puissants, il est rare que le fantôme de votre collègue vous apparaisse, pris de hoquet, devant son appartement. Serait-ce parce qu'ils partagent un secret ? Ce secret que chacun de nous abrite, peut-être sans importance, mais que personne ne doit connaître. L'art d'Itoyama Akiko, c'est de savoir, dans le tableau d'ensemble, repérer le détail qui, soudain, bouleverse la perspective. Ses deux récits colorent la banale réalité du travail de la touche de l'imprévisible ; alors l'être humain révèle son excentricité cachée, et la lutte pour le pain quotidien, son ironique vacuité.