Le film de ma vie
avec 1 DVD

Par : Jean Valère

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  • Nombre de pages240
  • PrésentationBroché
  • Poids0.44 kg
  • Dimensions15,1 cm × 23,0 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-35687-103-9
  • EAN9782356871039
  • Date de parution21/01/2011
  • CollectionCiné-Mythologies
  • ÉditeurLe Bord de l'eau
  • PréfacierUmberto Eco
  • TraducteurMyriem Bouzaher

Résumé

« J’aurais dû être fusillé ce jour-là… » Par un heureux concours de circonstances, Jean Blum, résistant dans le massif du Vercors, échappe de justesse aux balles de l’armée allemande. Sa vie a basculé pendant la guerre. Adieu les années d’insouciance à Paris. Comment croire en son étoile lorsqu’on en porte une jaune, offerte à la haine aveugle ? Avec la traversée de la résistance, Jean Blum devient Jean Valère.
Aux lendemains de la guerre, il éprouve un sentiment de vide que le cinéma vient combler. Il en gravit peu à peu les échelons. Marcel Carné, André Cayatte, Max Ophuls… Il côtoie les plus grands, dont il devient l’assistant. En acteur ému et en observateur amusé, il croise Arletty, Jean Gabin, Simone Signoret, Roger Nimier, Julien Gracq, Cocteau, Morand et Giono. Une fois devenu metteur en scène, sa vie devient une succession de films.
Son cinéma explore la condition humaine dans le registre dramatique, et avec quelques incursions dans la comédie. Il dirige des acteurs aussi différents que Maurice Ronet, Jean Seberg, Monica Vitti, Jacques Brel, Emmanuelle Riva… Entre souvenirs et anecdotes, entre gravité et légèreté, le récit de Jean Valère nous restitue des pages entières de l’histoire du cinéma français, de l’après-guerre à aujourd’hui, avec un éclairage particulier, sur l’histoire de la Nouvelle vague notamment.
« J’aurais dû être fusillé ce jour-là… » Par un heureux concours de circonstances, Jean Blum, résistant dans le massif du Vercors, échappe de justesse aux balles de l’armée allemande. Sa vie a basculé pendant la guerre. Adieu les années d’insouciance à Paris. Comment croire en son étoile lorsqu’on en porte une jaune, offerte à la haine aveugle ? Avec la traversée de la résistance, Jean Blum devient Jean Valère.
Aux lendemains de la guerre, il éprouve un sentiment de vide que le cinéma vient combler. Il en gravit peu à peu les échelons. Marcel Carné, André Cayatte, Max Ophuls… Il côtoie les plus grands, dont il devient l’assistant. En acteur ému et en observateur amusé, il croise Arletty, Jean Gabin, Simone Signoret, Roger Nimier, Julien Gracq, Cocteau, Morand et Giono. Une fois devenu metteur en scène, sa vie devient une succession de films.
Son cinéma explore la condition humaine dans le registre dramatique, et avec quelques incursions dans la comédie. Il dirige des acteurs aussi différents que Maurice Ronet, Jean Seberg, Monica Vitti, Jacques Brel, Emmanuelle Riva… Entre souvenirs et anecdotes, entre gravité et légèreté, le récit de Jean Valère nous restitue des pages entières de l’histoire du cinéma français, de l’après-guerre à aujourd’hui, avec un éclairage particulier, sur l’histoire de la Nouvelle vague notamment.