"Le feu de la rébellion" ?. Les imprimés de l'affaire de Bretagne (1764-1769)
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- Nombre de pages792
- PrésentationRelié
- Poids1.26 kg
- Dimensions15,5 cm × 23,5 cm × 0,0 cm
- ISBN978-2-7453-2216-6
- EAN9782745322166
- Date de parution07/07/2011
- CollectionLes dix-huitièmes siècles
- ÉditeurHonoré Champion
Résumé
" Le feu de la rébellion " : cette expression veut résumer les effets produits par les divers " libelles " qui accompagnent les péripéties de l'affaire de Bretagne. Commencée véritablement en 1764, celle-ci apparaît d'abord comme un conflit de nature fiscale mettant aux prises les ministres de Louis XV, les États et le parlement de Bretagne. Le procureur général Louis-René de Caradeuc de La Chalotais, déjà connu pour son implication dans la lutte contre les jésuites, réussit à personnifier l'opposition au pouvoir royal et à ses agents, au premier chef le duc d'Aiguillon, commandant de la Bretagne depuis 1753.
Ce dernier démissionne de ses fonctions en août 1768. Le parlement est rappelé en juillet 1769. L'affaire de Bretagne s'inscrit alors de plus en plus dans un paysage national, surtout à partir de 1771, date de la mise en œuvre de la réforme Maupeou. Elle prend fin en 1774, sous le règne de Louis XVI, avec le retour triomphal du procureur général La Chalotais.
Ce dernier démissionne de ses fonctions en août 1768. Le parlement est rappelé en juillet 1769. L'affaire de Bretagne s'inscrit alors de plus en plus dans un paysage national, surtout à partir de 1771, date de la mise en œuvre de la réforme Maupeou. Elle prend fin en 1774, sous le règne de Louis XVI, avec le retour triomphal du procureur général La Chalotais.
" Le feu de la rébellion " : cette expression veut résumer les effets produits par les divers " libelles " qui accompagnent les péripéties de l'affaire de Bretagne. Commencée véritablement en 1764, celle-ci apparaît d'abord comme un conflit de nature fiscale mettant aux prises les ministres de Louis XV, les États et le parlement de Bretagne. Le procureur général Louis-René de Caradeuc de La Chalotais, déjà connu pour son implication dans la lutte contre les jésuites, réussit à personnifier l'opposition au pouvoir royal et à ses agents, au premier chef le duc d'Aiguillon, commandant de la Bretagne depuis 1753.
Ce dernier démissionne de ses fonctions en août 1768. Le parlement est rappelé en juillet 1769. L'affaire de Bretagne s'inscrit alors de plus en plus dans un paysage national, surtout à partir de 1771, date de la mise en œuvre de la réforme Maupeou. Elle prend fin en 1774, sous le règne de Louis XVI, avec le retour triomphal du procureur général La Chalotais.
Ce dernier démissionne de ses fonctions en août 1768. Le parlement est rappelé en juillet 1769. L'affaire de Bretagne s'inscrit alors de plus en plus dans un paysage national, surtout à partir de 1771, date de la mise en œuvre de la réforme Maupeou. Elle prend fin en 1774, sous le règne de Louis XVI, avec le retour triomphal du procureur général La Chalotais.