Fond inépuisable, la littérature russe nous propose, encore une fois, un trésor.
Nous voilà dans les labyrinthes des services secrets russes. Nous voilà dans un monde fou – le nôtre.
Nous voilà dans un roman où la chasse à l'homme devient (non sans humour) méditation sur le sens de la vie, sur celui de la mort, et celui de la morale.
Lebedev est un magicien : il réussit à nous les rendre sympathiques ces personnages, au premier abord, détestables. Sous le coup de son écriture précise – phrase, paragraphe, page après page – on suit jusqu'au bout, finalement inquiets pour eux, leur destin inexorable.
Fond inépuisable, la littérature russe nous propose, encore une fois, un trésor.
Nous voilà dans les labyrinthes des services secrets russes. Nous voilà dans un monde fou – le nôtre.
Nous voilà dans un roman où la chasse à l'homme devient (non sans humour) méditation sur le sens de la vie, sur celui de la mort, et celui de la morale.
Lebedev est un magicien : il réussit à nous les rendre sympathiques ces personnages, au premier abord, détestables. Sous le coup de son écriture précise – phrase, paragraphe, page après page – on suit jusqu'au bout, finalement inquiets pour eux, leur destin inexorable.