Le crime de l'orateur. Prise de parole en public : 3 secrets et 60 techniques

Par : Fabian Delahaut
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  • Nombre de pages154
  • PrésentationBroché
  • Poids0.27 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 0,9 cm
  • ISBN978-2-8041-7422-4
  • EAN9782804174224
  • Date de parution05/11/2012
  • ÉditeurDe Boeck Professionals
  • PréfacierPhilippe Vincent

Résumé

La pression monte. C'est demain que vous prenez la parole face public, et vous êtes tétanisé ! Votre sommeil, court et agité, n'est pas réparateur. Ca y est : quelques minutes encore et c'est à vous. Le cœur cogne dans la gorge. La bouche est sèche et les mains moites. L'estomac est noué. Votre pc choisit ce moment précis pour renâcler. Pas moyen d'établir la connexion avec le projecteur. Et toutes ces belles dias noircies (trop !) de phrases inspirées comme autant d'aide-mémoire, que vous risquez de ne pas montrer ! Votre portefeuille tire le pan gauche de votre veste vers le bas pendant que votre chevalière, étincelante, choisit d'attirer tous les regards.
Le vôtre de regard, balaie le sol. Vous balancez d'un pied sur l'autre et constatez avec effroi que vous avez oublié de cirer vos chaussures. Enfin un premier son : "Euh... Donc euh..." Vos mains hésitent. Elles se demandent à quoi elles peuvent bien servir. Zut : pas de micro à tenir. Ouf ! Une poche. « Et si nous nous cachions dans le dos ? ». Vingt minutes viennent de s'écouler. Le calvaire prend fin.
Ne sachant pas comment conclure, vous balbutiez, dans une soudaine inspiration, un "voilà c'est fini" salvateur. Réveillez-vous, le cauchemar est terminé.
La pression monte. C'est demain que vous prenez la parole face public, et vous êtes tétanisé ! Votre sommeil, court et agité, n'est pas réparateur. Ca y est : quelques minutes encore et c'est à vous. Le cœur cogne dans la gorge. La bouche est sèche et les mains moites. L'estomac est noué. Votre pc choisit ce moment précis pour renâcler. Pas moyen d'établir la connexion avec le projecteur. Et toutes ces belles dias noircies (trop !) de phrases inspirées comme autant d'aide-mémoire, que vous risquez de ne pas montrer ! Votre portefeuille tire le pan gauche de votre veste vers le bas pendant que votre chevalière, étincelante, choisit d'attirer tous les regards.
Le vôtre de regard, balaie le sol. Vous balancez d'un pied sur l'autre et constatez avec effroi que vous avez oublié de cirer vos chaussures. Enfin un premier son : "Euh... Donc euh..." Vos mains hésitent. Elles se demandent à quoi elles peuvent bien servir. Zut : pas de micro à tenir. Ouf ! Une poche. « Et si nous nous cachions dans le dos ? ». Vingt minutes viennent de s'écouler. Le calvaire prend fin.
Ne sachant pas comment conclure, vous balbutiez, dans une soudaine inspiration, un "voilà c'est fini" salvateur. Réveillez-vous, le cauchemar est terminé.