Lampes en terre cuite antiques

Par : Colette Bémont

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  • Nombre de pages583
  • PrésentationBroché
  • Poids1.9 kg
  • Dimensions21,0 cm × 27,0 cm × 3,3 cm
  • ISBN978-2-7118-5049-5
  • EAN9782711850495
  • Date de parution03/01/2008
  • ÉditeurRMN
  • PréfacierPatrick Périn

Résumé

Les collections du musée d'Archéologie nationale renferment environ 700 lampes en terre cuite : décompte fondé sur les recherches dans les réserves du château, les registres d'inventaire et les archives relatives aux acquisitions, ainsi que sur l'analyse du mobilier. Le matériel, dû avant 1870 aux libéralités de Napoléon III, fondateur du musée consacré aux Antiquités nationales, s'est accru selon les occasions : achats, dons ou legs privés, missions, ou encore dépôts de musées autrement spécialisés. Ces circonstances expliquent la diversité des fonds nationaux, l'existence d'une salle de comparaison justifiant par ailleurs, parfois a posteriori, la présence de certains échantillons exotiques (africains, orientaux...). Dans l'état actuel de l'enquête, un peu plus de la moitié des lampes peuvent avoir été produites en Gaule (Ier-IIIe siècle). Le reste se partage entre de petits lots méditerranéens précoces (Ve-Ier siècle avant J.-C.), plus d'une centaine d'échantillons présumés italiques (Ier-IVe siècle), et des groupes moins importants (IIIe - VIIe siècle) inégalement répartis entre le Nord de l'Afrique, l'Asie mineure, le Bas-Danube et la Grèce. Quelques objets enfin sont d'origine indéterminée ou de datation plus tardive. L'historique des collections témoigne de la complexité de ce fonds. La préparation de l'inventaire, en révélant le caractère hétérogène et parfois insolite des échantillons et les lacunes de la documentation archéologique a entraîné de larges comparaisons et recherches bibliographiques. La présentation des lampes comprend les catalogues détaillés des objets (par périodes et régions), des décors et des signatures de potiers. Plusieurs annexes et un rapport du Centre de recherche et de restauration des musées de France complètent et facilitent la consultation de ce catalogue.
Les collections du musée d'Archéologie nationale renferment environ 700 lampes en terre cuite : décompte fondé sur les recherches dans les réserves du château, les registres d'inventaire et les archives relatives aux acquisitions, ainsi que sur l'analyse du mobilier. Le matériel, dû avant 1870 aux libéralités de Napoléon III, fondateur du musée consacré aux Antiquités nationales, s'est accru selon les occasions : achats, dons ou legs privés, missions, ou encore dépôts de musées autrement spécialisés. Ces circonstances expliquent la diversité des fonds nationaux, l'existence d'une salle de comparaison justifiant par ailleurs, parfois a posteriori, la présence de certains échantillons exotiques (africains, orientaux...). Dans l'état actuel de l'enquête, un peu plus de la moitié des lampes peuvent avoir été produites en Gaule (Ier-IIIe siècle). Le reste se partage entre de petits lots méditerranéens précoces (Ve-Ier siècle avant J.-C.), plus d'une centaine d'échantillons présumés italiques (Ier-IVe siècle), et des groupes moins importants (IIIe - VIIe siècle) inégalement répartis entre le Nord de l'Afrique, l'Asie mineure, le Bas-Danube et la Grèce. Quelques objets enfin sont d'origine indéterminée ou de datation plus tardive. L'historique des collections témoigne de la complexité de ce fonds. La préparation de l'inventaire, en révélant le caractère hétérogène et parfois insolite des échantillons et les lacunes de la documentation archéologique a entraîné de larges comparaisons et recherches bibliographiques. La présentation des lampes comprend les catalogues détaillés des objets (par périodes et régions), des décors et des signatures de potiers. Plusieurs annexes et un rapport du Centre de recherche et de restauration des musées de France complètent et facilitent la consultation de ce catalogue.