La Wehrmacht de Fall Gelb 1940

Par : Eric Denis
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 26 juillet et le 29 juillet
      Cet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 3 à 6 jours après la date de votre commande.
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages196
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.65 kg
  • Dimensions21,0 cm × 29,5 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-7178-6988-0
  • EAN9782717869880
  • Date de parution03/01/2018
  • CollectionArmes & Armées
  • ÉditeurEconomica
  • PréfacierAlain Verwicht

Résumé

En 1940, la défaite des Alliés est une bien mauvaise surprise, plongeant le monde dans un avenir incertain. En une quinzaine de jours, la Wehrmacht prend définitivement l'avantage sur une coalition regroupant les armées française, anglaise, belge et hollandaise, alors que la situation initiale laissait présager une guerre longue et une inexorable victoire des puissances occidentales, cumulant dans leur ensemble plus de moyens militaires et économiques que leur ennemie.
Ce résultat foudroyant est la conséquence d'une audacieuse stratégie, principalement exécutée de main de maître par l'armée d'active allemande, le rôle attribué aux troupes de réserve se résumant principalement à occuper et à tenir les territoires conquis par cet irrésistible fer de lance. Cette stratégie porte un nom : Fall Gelb. Mais cette éclatante victoire n'est pas que le fruit d'un plan pertinent, elle trouve également ses sources dans une Wehrmacht disciplinée et courageuse, tenante d'un héritage et d'une tradition militaire séculaire, faisant d'elle l'une des meilleures armées de l'époque, si ce n'est la meilleure, en dépit de sa défaite de 1918.
L'exécution de Fall Gelb prendra 14 jours, du 10 au 23 mai 1940. A cette époque, c'est la plus grande offensive de tous les temps, allant opposer des millions d'hommes, des milliers de chars, d'avions et de canons. Elle remettra en cause tous les principes militaires reconnus depuis la guerre précédente en modernisant une stratégie victorieusement appliquée depuis la nuit des temps, la supériorité du mouvement dans l'offensive.
En 1940, la défaite des Alliés est une bien mauvaise surprise, plongeant le monde dans un avenir incertain. En une quinzaine de jours, la Wehrmacht prend définitivement l'avantage sur une coalition regroupant les armées française, anglaise, belge et hollandaise, alors que la situation initiale laissait présager une guerre longue et une inexorable victoire des puissances occidentales, cumulant dans leur ensemble plus de moyens militaires et économiques que leur ennemie.
Ce résultat foudroyant est la conséquence d'une audacieuse stratégie, principalement exécutée de main de maître par l'armée d'active allemande, le rôle attribué aux troupes de réserve se résumant principalement à occuper et à tenir les territoires conquis par cet irrésistible fer de lance. Cette stratégie porte un nom : Fall Gelb. Mais cette éclatante victoire n'est pas que le fruit d'un plan pertinent, elle trouve également ses sources dans une Wehrmacht disciplinée et courageuse, tenante d'un héritage et d'une tradition militaire séculaire, faisant d'elle l'une des meilleures armées de l'époque, si ce n'est la meilleure, en dépit de sa défaite de 1918.
L'exécution de Fall Gelb prendra 14 jours, du 10 au 23 mai 1940. A cette époque, c'est la plus grande offensive de tous les temps, allant opposer des millions d'hommes, des milliers de chars, d'avions et de canons. Elle remettra en cause tous les principes militaires reconnus depuis la guerre précédente en modernisant une stratégie victorieusement appliquée depuis la nuit des temps, la supériorité du mouvement dans l'offensive.