La ville au corps à corps. Gérard Pénot - Atelier Ruelle, Grand prix de l'urbanisme 2015

Par : Ariella Masboungi

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  • Nombre de pages144
  • PrésentationBroché
  • Poids0.42 kg
  • Dimensions16,1 cm × 24,4 cm × 1,1 cm
  • ISBN978-2-86364-215-3
  • EAN9782863642153
  • Date de parution07/01/2016
  • CollectionGrand Prix de l'urbanisme
  • ÉditeurParenthèses Editions
  • PréfacierSylvia Pinel

Résumé

Une ville, c'est une matière sensuelle en mouvement qui se travaille et se transforme avec les autres : les contradictions, les enjeux économiques et politiques, les logiques d'acteurs, les inventions techniques, les conflits, conversations et trouvailles en tous genres, et aussi les corps physiques qui entrent en contact, les matériaux, l'air, l'eau, la lumière, les arbres, le vent... C'est avec cette matière-là que Gérard Pénot engage un corps à corps, en essayant d'en tirer le meilleur parti.
"Faire avec" pourrait être sa devise qui, loin d'être fataliste, relève d'une ambition folle, pour faire beaucoup et "riche", avec les moyens à disposition — qu'ils soient humains, techniques ou financiers —, souvent limités. C'est ainsi que Gérard Pénot et son équipe de l'Atelier Ruelle ont recomposé le centre de Saint-Nazaire et de nombreux grands ensembles, comme à Rennes ou à Saint-Dizier. A Nantes, l'incroyable mutation d'un grand ensemble signe la performance de son travail.
Il s'attaque aussi à d'autres sujets ardus tel le réaménagement urbain de la gare de Perrache à Lyon qui dresse aujourd'hui un obstacle entre la ville et le quartier de la Confluence. Amoureux des arbres qu'il élève dans son parc de Marcillé près d'Angers transformé au fil des ans, Gérard Pénot conçoit son métier comme un processus de fabrication intellectuelle et collective au bénéfice d'une ville dessinée à hauteur d'homme, aimable au piéton, avec exigence, l'air de rien, sans ostentation.
Une ville, c'est une matière sensuelle en mouvement qui se travaille et se transforme avec les autres : les contradictions, les enjeux économiques et politiques, les logiques d'acteurs, les inventions techniques, les conflits, conversations et trouvailles en tous genres, et aussi les corps physiques qui entrent en contact, les matériaux, l'air, l'eau, la lumière, les arbres, le vent... C'est avec cette matière-là que Gérard Pénot engage un corps à corps, en essayant d'en tirer le meilleur parti.
"Faire avec" pourrait être sa devise qui, loin d'être fataliste, relève d'une ambition folle, pour faire beaucoup et "riche", avec les moyens à disposition — qu'ils soient humains, techniques ou financiers —, souvent limités. C'est ainsi que Gérard Pénot et son équipe de l'Atelier Ruelle ont recomposé le centre de Saint-Nazaire et de nombreux grands ensembles, comme à Rennes ou à Saint-Dizier. A Nantes, l'incroyable mutation d'un grand ensemble signe la performance de son travail.
Il s'attaque aussi à d'autres sujets ardus tel le réaménagement urbain de la gare de Perrache à Lyon qui dresse aujourd'hui un obstacle entre la ville et le quartier de la Confluence. Amoureux des arbres qu'il élève dans son parc de Marcillé près d'Angers transformé au fil des ans, Gérard Pénot conçoit son métier comme un processus de fabrication intellectuelle et collective au bénéfice d'une ville dessinée à hauteur d'homme, aimable au piéton, avec exigence, l'air de rien, sans ostentation.